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letra de pusher iv - waltmann

[paroles de “pusher iv”]

[intro]
rah
pah, pah, pah, pah

[refrain]
dans ma tête, c’est comme si j’écrivais pusher ii (pusher ii)
ouais, ou bien comme si j’écrivais pusher iii (wah)
tu portes une veste irréversible (tu portes une veste irréversible)
on t’oubli’ra comme les rivières pourpres
c’est tout bizarre dans ma tête, c’est comme si j’écrivais pusher ii (pusher ii)
ouais, ou bien comme si j’écrivais pusher iii (wah)
tu portes une veste irréversible (tu portes une veste irréversible)
on t’oubli’ra comme les rivières pourpres (c’est sûr qu’on t’oubli’ra, ouais)

[couplet]
y a-t-il une justice qui a canné, ou qui n’a jamais vu le jour ? (ouais)
y a-t-il une surprise qui apparaît pour celui qui a taffé sur le pouce ? (ouf)
ou qui a mal parlé sur le crew (hé)
y a-t-il une suce-bite qui a bavé ? (rah, eh)
j’suis pressé d’vous faire écouter l’album (écoutez, écoutez)
j’suis stressé, écoutez, j’ai découpé la prod (ouais)
écoutez les couplets d’abord
j’ai interdit ce projet aux moins de seize
en deux mois j’ai du gratter au moins deux seizes
à l’école je n’ai jamais eu moins de seize
j’ai été toxico, j’ai trop cédé (j’ai trop d’cds, ouais)
b-c, d-o-j-o, l-o-f-t
h-llo le s-v
ils vont à deux dans ses seufs, son keum est devant des [? à 1:10] (cheum)
mon corps est demandé meuf, mon cœur est demandé neuf (rah, rah, rah, eh)
t’aimes le football, tu es un footix, doublé d’un trou d’balle (triplé d’un trou d’bite)
j’ai trouvé un coupable et grillé un bout d’sh-t (eh, hey)
déconseillé aux moins de dix-huit
des morceaux il y en aura moins de dix-huit
à la fac je n’ai jamais eu moins de dix-huit (non, à peu près, ouais)
[refrain]
dans ma tête, c’est comme si j’écrivais pusher ii (pusher ii)
ouais, ou bien comme si j’écrivais pusher iii (wah)
tu portes une veste irréversible (tu portes une veste irréversible)
on t’oubli’ra comme les rivières pourpres
c’est tout bizarre dans ma tête, c’est comme si j’écrivais pusher ii (pusher ii, ouais)
ou bien comme si j’écrivais pusher iii (wah)
tu portes une veste irréversible (tu portes une veste irréversible)
on t’oubli’ra comme les rivières pourpres (c’est sûr qu’on t’oubli’ra, ouais)

[outro]
c’est sûr qu’on t’oubli’ra (ouais)
sûr qu’on t’oubli’ra (ouais)
c’est sûr qu’on t’oubli’ra (eh)
comme les rivières pourpres
c’est sûr qu’on t’oubli’ra (ouais)
sûr qu’on t’oubli’ra (ouais)
c’est sûr qu’on t’oubli’ra
même si tu portes une veste irréversible (ouais)
ça va être bon avec un p’tit peu de purée là-dessus
ah ha ha, la patate y’a qu’ça d’vrai

- waltmann

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