letras.top
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de casse #3 - troy davy

Loading...

troy
davy
tchek
kadzar

j’ai mal au dos à force d’être resté sur le banc
j’attends tous les clients avec les couilles remplies d’pilon
puis papa m’a rodave, mais moi j’ai besoin d’oseille
et après deux trois menaces, obligé d’abandonner
galère d’avoir du taff en dehors des mois d’été
on aimerait vivre du rap, br-sser des li-sses et bien becqueter
s’ranger puis investir, on connaît déjà les bases
maint’nant qu’les pd tirent, on peut tous se manger des balles
j’comprends toujours pas les meufs et leurs caprices à la con
et si tu cours après une pute, tu s’ras l’champion du marathon
les vrais te conseilleront dans tes choix, tes décisions
pendant qu’les faux abuseront, t’mèneront dans la confusion
j’ai arrangé des gens qui, en vrai, n’méritaient ap
j’ai commencé l’trafic sans savoir si j’étais apte
dans nos têtes, c’est gta
y’a les schmits, ça m’est égal
ca bicrave en bas des bâts
pilon, cess, et caetera…
livraison en vespa, ils ne nous connaissent pas
pas grand chose qu’on f’rait pas pour des vacs en espagne
j’aimerais buter mon voisin qui met la pression à ma mère
est-ce des pulsions meurtrières ou une envie p-ssagère ?
tu peux m’sucer la bite, là où j’habite
ca parle plus biff que beuh, ça veut bouger à abu dhabi
les grosses têtes signent les pd d’la capitale
ils sont en manque de drogue donc, forcément, on les ravitaille
vous connaissez tous : aucun thème à raconter
a part dire qu’on fait des sous comme tous les quartiers d’à côté
et comment réagir quand c’est partout la merde
en plus, c’est partout la même, sache que l’état nous la met

mais laissez nous tranquille, on vous a rien d’mandé
et quand les blèmes s’empilent, plus grand chose fait bander
tu reconnais, c’est troy, genre tu connaissais pas
on est tous un peu potes, mais l’argent nous sépare
moi j’donne que d’l’avant-goût, j’me donne jamais à fond
un artiste avant tout, qui prépare son plavon
désormais rien n’nous choque, en bas d’nos bâtiments
c’est plus la même époque, ni les mêmes sentiments
ose dire que j’suis pas au-d’su d’ces commis qui trappent
et dire qu’y a une semaine, j’avais du pilon qui frappait

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS

Loading...