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letra de minuit pile - t.i.s

[paroles de “minuit pile”]

[intro]
yeah
lando, swing man
pile dans la ville, yeah, yeah

[refrain]
quand j’écoute que mon cœur, y’a des couplets, des chœurs et, d’un coup, ça m’écœure, donc j’arrête net
et je coupe le moteur, je prends de la hauteur, du recul pour me vider la tête, mec
laisse-moi tranquille, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’traîne en ville, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’écoute que mon cœur, y’a des couplets, des chœurs et, d’un coup, ça m’écœure, donc j’arrête net
et je coupe le moteur, je prends de la hauteur, du recul pour me vider la tête, mec
laisse-moi tranquille, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’traîne en ville, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais (yeah, yeah)

[couplet 1]
qu’est-ce que j’aime quand la ville est calme, je peux me vider l’crâne, même si la vie réclame que des chèques
et l’argent de david beckham pour l’appétit des femmes, mais y’a très vite des drames, des échecs
je pèse mes mots au milligramme mais ils définissent mal c’qu’il y a en filigrane dans ma tête
donc je m’pose dans mon minivan où j’deviens silly, man, fou, et je finis mal, donc j’arrête
je ne pense plus, erre en france dans les grandes rues, la fille avec qui j’danse est vraiment plus qu’un plan cul
j’dépense dans les invendus, croque à pleines dents dans le fruit défendu
tendu, la paresse, l’indolence, il paraît qu’ça commence vite, moi, c’est jamais vraiment descendu
tu vois ma nonchalance quand je m’avance en silence dans l’avenue
[refrain]
quand j’écoute que mon cœur, y’a des couplets, des chœurs et, d’un coup, ça m’écœure, donc j’arrête net
et je coupe le moteur, je prends de la hauteur, du recul pour me vider la tête, mec
laisse-moi tranquille, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’traîne en ville, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’écoute que mon cœur, y’a des couplets, des chœurs et, d’un coup, ça m’écœure, donc j’arrête net
et je coupe le moteur, je prends de la hauteur, du recul pour me vider la tête, mec
laisse-moi tranquille, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais
quand j’traîne en ville, laisse-moi chiller, filer, driver, kiffer, direct, j’y vais (yeah)

[couplet 2]
qu’est-ce que j’aime quand la nuit tombe, les lumières de la ville, les garçons et les filles qui font un verbal ping-pong
je m’en sers dans mes theme song mais j’entends des sirènes toutes les dix secondes
dites donc, ce monde est devenu terne et les esprits plus fermés que les frontières du pays d’kim jong
entre l’bien et le mal, sur chaque instrumentale, devine qui jongle, hein
mais j’en peux plus quelquefois donc, pas l’choix, je vis reclus
baggy jeans et parka, j’prends du recul, gotham city arkham où j’me situe, là où je circule
j’y bulle, y’a des loups et des hyènes en région parisienne, moi, c’est fou
j’suis le hibou d’paris-sud, ça peut être doux puis vite rude mais on prend l’pli, l’habitude

[outro]
donc laisse-moi tranquille
quand j’traîne en ville
yeah, laisse-moi tranquille
quand j’traîne en ville
minuit pile

- t i s

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