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letra de freestyle (zili oner, part. 2) - t.i.s

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[instru 1]

[couplet]
concentré sur le son de mes écouteurs
je suis toutes leurs vibrations, je laisse vivre et se poursuivre
l’action, j’t’explique de suite la situation
je m’applique à rester tranquille pendant qu’les gens filent
sans explication dans la ville, car ils sont speed et défilent
tous ont l’air pressé, moi, j’apprécie un bon vieux cypress hill
et fly dans le ‘tro-m’, mp3, wma
ipod dans la paume, je me promène dans le domaine des temples of boom
et j’te promets que j’suis rythmé par les boom-bap
les kicks et les snares, les caisses claires et les soul-clap
j’ai des sons ‘vés-ner’ sous l’capot et sous l’cap
le temps d’un rer, je m’rep-sse en revue tout l’rap
mais, c’que j’préfère, ce sont les beats slow down
j’te l’avais rappelé et rappé sur le hit de flo brown
et donc j’essaye de travailler dans cette vibe à l’ancienne
et bon esprit comme l’ancienne tribe en tant qu’un art ancestral

[refrain]
et je te balance un son smooth
bande originale de c’movie, que serait ma vie dans c’move ?
ça fait : je te balance un son smooth
à l’influence souly-jazzy et à l’évidence groove
c’est : je te balance un son smooth
bande originale de c’movie, que serait ma vie dans c’move ?
ç’est : je te balance un son smooth
yo, move it out, n-gga

[instru 2]

[couplet 2]
les gens kiffent jay z mais j’hésite à faire comme [?] jazzy
mais j’pense que tu l’as d’jà saisi
le jazz m’a choisi, pourtant, j’te jure, j’vois large dans la zik
je voyage de cl-ssique en cl-ssique, en marge de vos hits
qui m’laissent quasiment d’marbre, ainsi, vos ziks de fanzines
et d’magazines -ss-ssinent les racines de l’arbre et même l’écime
et, là, j’essuie tes larmes, même si j’me prends pas pour un brave sauveur
d’âme, ou même un messie, car j’suis juste un mc d’paname
et juste un p’t-t boug en tim’ boots
avec le crâne tellement rempli de beats smooths et de magnifiques loops
j’roule avec lolli pee, que le dirty sound s’horripile
donne-nous un bic et un beat et un mic’ et, direct, on rempile
on and on, t.i.s et mister hone, sourires éclatants à la charlize theron
vous invitent au pays des merveilles à la lewis carroll
notre univers est jazz
les vieux vinyles de blue note sont désormais notre terrain d’ch-sse

[instru 3]

[couplet 3]
donne-moi d’abord une feuille et un bic, ensuite un beat et un mic’
que j’puisse m’appliquer à fabriquer un hit, faut empiler les briques
le beat, la b-sse, les samples, moi, j’suis la pile électrique
qui fera fonctionner puis briller l’ensemble, observez bien, faites crier l’encens
premier tour de magie : le monde mc va p-sser de plus d’dix mille à cent
le paysage du pe-ra dit menaçant
va devenir, dès à présent, plus apaisant
tout ça dû à ma présence, admirez la prestance
j’suis le splendini comme woody, le houdini du hood au nike hoody
celui qui fait bouger les fat booty des black beauties
j’ai pas d’baguette ni de gadget comme outils
mais un mic que je check puis que je jette une fois qu’j’ai tout dit, mec
tu deviens fou direct, te défoules à l’applaudimètre
[?] peut-être de te mettre dans la peau du maître, au bout des lettres
se trouve la magie qu’agit comme un coup des [?]
sur les machines [?] à force de [?] comme [?]

[refrain]
magique, j’fais disparaître les traîtres, comme garcimore
ainsi qu’les gares-ci et les garces et les gars qui s’égarent sur le ceau-mor
magique, j’fais disparaître les traîtres, comme garcimore
t’es des contrastes et des contrats mais, conn-sse, on laisse que des traces sonores
magique, j’fais disparaître les traîtres, comme garcimore
j’ai pas de mac gâchette ni de machette, juste un mic, check et les gars sont morts
magique, j’fais disparaître les traîtres, comme garcimore
j’demande pas de rançon, j’détourne seulement l’son comme my man mozinor

[instru 4]

[couplet 4]
y’a pas d’texte qui vient dans ma tête donc je pars en impro’
pas d’problème, toi-même, tu sais, tu sais qu’j’suis un pro’
j’suis là, en freestyle devant la caméra
on est là, chez zili a.k.a my man godzilla
donc on est à-l, pépère, on vient représenter
tout l’univers, aigh, tous les frères
y’a pas d”blème, tu sais, car on est tous frères et sœurs
c’est t.i.s au mic et j’apporte de la chaleur
les chaleurs des west indies dans ce buis’
comme j’te l’ai d’jà dit ‘t’à l’heure, t.i.s, tu crois pas qu’je m’enlise
dans la crise, non, je mène ma pet-te entreprise
tranquillement, aigh
t.i.s, apparemment, c’est toujours bon, toujours flow, toujours faut
t.i.s au mic, c’est toujours de l’impro’
même si je bafouille, tu sais que c’est que l’début
c’est t.i.s au mic, j’arrive direct sur l’instru’
l’instru’, c’est quoi ? c’est martiangang
c’est t.i.s au mic, tu sais, je parle pas, je n’fais pas de slang
tu vois, j’essaye de parler en cainri
mais j’y arrive pas, alors je dis : “tant pis”

[instru 5]

[couplet 5]
messieurs, mesdames, approchez toutes les cames, t.i.s secoue les crânes
dans le game, et joue et gagne, plie l’mic comme un origami
j’suis celui qu’on réclame d’ici jusqu’en mauritanie
crie mon nom comme ole dan du haut d’une montagne, la nuit
dans l’rap, je fais mes gammes, me fous bien de tous vos grammys
d’être signé chez polygram, moi, j’nique les prods, genre polygamie
les ryhtmiques, on les crame, kick les mic’ et colégram
lâche des phases au kilogramme car le flow liquide est mécanique
si tous les pourris canent, les fachos, les hooligans
tu verras bien qu’on ricanera, tu verras même toutes mes canines
mais j’reste cool et calme, tranquillement, écoule ma came
même si kamini m’accable, je n’pleure pas comme une grosse gamine
pé-sa en [?] même en live [?]
je m’américanise, comme tous les gars de hood de paname
tu peux faire tous tes craris, ramener ton tier-quar au micro
[?] carrière, c’est bien trop tard, l’ami

[instru 6]

[couplet 6]
si y’avait pas d’riddim, pas d’rif de batterie, j’écrirais pas d’rimes
ma vie serait vide comme une boîte à musique sans ballerine
check le bad trip, j’écouterais pas les beats de fatlip, de madlib
et les flow terribles du calibre de talib seraient pas libres
de les faire vibrer, les faire vivre
leur donner la fever de faire des fibres ou même des vivres
[?mourir au son ou peut-être ivre mort?], t.i.s pose quelques mots sur le livre d’or
mon hip-hop éternel [?] pour celui qui veut [?]
influencé par la soul, le jazz et le rock [?] ch-sser l’europe
comme des b-boys, des fly girls [?]
chacun transporte son hip-hop dans son ipod, p-sse de [?] à [?] flipmode
[?] sans pirogue, les épisodes se suivent sans même d’épilogue
on pilote, les sons pèsent lourd comme un vinyle de [?]
et [?] qui inondent les ondes grâce à des [?]
[?] il est notre source de connaissance
la seule, l’unique musique qui, à notre vie adolescente, donne naissance

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