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letra de cinco - sysa

cinco lyrics
[paroles de “cinco”]

[intro]
samoss prod

[couplet 1]
numéro 10 maradona (numéro 10 maradona)
découpeur on m’a surnommé (ouais)
tony sosa paranoïaque, j’pars pour les croisades j’vais revenir couronné
1-3-0-9 le cartel (brr), jamais j’traîne les jambes écartés (jamais)
marlo stanfield, avon barksdale, j’crois pas en toi comme un athée (nan)
shooter d’élite dans le corner, y’a des choses que j’tolère, sauf quand tu parles de moi
la vie c’est paro, ces bâtards n’ont pas peur de dieu, ils ont peur d’la fin du mois (bah ouais)
paris c’est magique, m-rs-ille c’est criminel, à quoi j’suis destiné (hein)
derrièrе mon avenir y’a deux, trois pointillés (hein)
casa blanca, toni kroos dans lе milieu, et j’pars en coup d’état comme au burkina (paw, paw, paw, paw)

[pré-refrain]
trop d’choses à dire, mais j’ai peur qu’on m’poucave à la tess (ouais gros)
j’ai juste voulu m’tremper les pieds gros, et j’ai bu la tasse (et j’ai bu la tasse)
jamais t’entendras du sysa dans des histoires de fesses (jamais, jamais)
j’préfère t’mentir qu’dire la vérité et d’perdre la face

[refrain]
m-rs-ille c’est réel (m-rs-ille c’est réel)
numéro cinco (numéro cinco)
j’porte mon quartier comme une coupe, comme le rebeu qui portait le real (zinédine zidane)
c’est l’chant des choristes y’a du sang sur l’piano (paw, paw, paw, paw)
j’crois bien qu’jsuis devenu parano (ouais, ouais)
camion cellulaire juste après l’tribunal
[couplet 2]
j’fais face à des tempêtes t’as même pas idée, j’suis d’passage comme un touriste (grr)
putain j’deviens aigri comme un puriste
pas besoin d’beaucoup pour qu’ils retournent leurs vestes
c’est pas l’carnaval donc ces bâtards on démasque (bâtards)
f-ck les influenceurs chez nous y’a personne qui peut nous influencer (personne, nan)
avec le mensonge dans l’ascenseur, vérité dans l’escalier est en train d’sucer (hehe, en train d’sucer)
j’vois l’verre à moitié plein (ouais), j’ai l’cœur à moitié vide (ouais)
si j’t’aime à l’ammoniaque, est-ce que tu m’suivrais dans un bain d’acide (wah)
j’ai tendu la main, j’ai tourné la tête, découpage instantané en p’tits morceaux (paw, paw, paw, paw)
sur mon cœur, v’là les putains de morsure, j’peux refaire le monde si j’traine avec omar sy (hehe)
et j’ai failli oublié (ouais), c’est pas les putes avec qui tu traînes qui me diront la salope que tu es (hein ?)
pas d’malentendu mais si tu sors le samedi d’garde à v’ c’est qu’t’as pas nié (non)
j’me méfie d’l’humain tout se cache derrière l’maquillage d’un visage tout nia (tout nia, hein)

- sysa

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