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letra de city of stars - scryss

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il doit des thunes, ouais mais c’est un bon gars
des mois d’études tout en ayant un emploi c’est dur
pas moins têtu qu’un autre son rêve c’est les mangas
dessinant sa vie comme s’il n’en avait qu’la moitié d’une
3 ans en pls , à réviser les partiels faire la baby-sitter
avant de rencontrer un éditeur
il avait rien à faire en bts
major de promo malgré des semaines de 68 heures

et oui dans c’game, faut jamais rien lâcher c’est une
évidence même, au milieu de l’incertitude
bloqué dans le trafic un soir
a deux pas de la, la land rover passait city of stars
c’est comme si l’univers peignait sa toile au pinceau
pour chaque enseigne, un luminaire pour chaque étoile, un passant
un peu partout mais solitaire, j’ai l’idée dans ce roman
d’aligner tout sauf jupiter pour être libre un moment
il était fait pour ça
presque auto-publier, sauf par la distribution qui lui prends dix pourcent
il est riche il a mit pause sur le chronomètre en cours
vu les kilomètres a courir il pense à se mettre en couple
peut être faire un mioche
lui qu’a remboursé son frère lui a offert un porshe
un chalet sur un terrain proche
d’humeur résigné donc il taffe et prend ses marques
il met du cœur quand il va signer des autographes dans les fnac

et oui dans c’game, faut jamais rien lâcher c’est une
évidence même, au milieu de l’incertitude
bloqué dans le trafic un soir
a deux pas de la la land rover passait city of stars
c’est comme si l’univers peignait sa toile au pinceau
pour chaque enseigne, un luminaire pour chaque étoile, un passant
un peu partout mais solitaire, j’ai l’idée dans ce roman
d’aligner tout sauf jupiter pour être libre un moment

il a le décor du voyage de chihiro au taf
une photo dédicacé avec eiishiro oda
il a ses bureaux, il aide les jeunes qui ont du talent
en plus de la sienne il parle trois langue
sa famille l’aime il a toujours était présent pour eux
sa femme a toujours ce regard amoureux
pas une triste page, pas une dépression
son nom c’est perfection et il n’existe pas

et oui dans c’game, faut jamais rien lâcher c’est une
évidence même, au milieu de l’incertitude
bloqué dans le trafic un soir
a deux pas de la la land rover passait city of stars
c’est comme si l’univers peignait sa toile au pinceau
pour chaque enseigne, un luminaire pour chaque étoile, un passant
un peu partout mais solitaire, j’ai l’idée dans ce roman
d’aligner tout sauf jupiter pour être libre un moment

j’aurais pu faire mes partiels et me lancer dans la vente
aucune histoire n’est parfaite à part celle qu’on invente
26 et bientôt 7 que j’ai passé mes vingt ans
assez d’attendre le soleil sous la pluie de nos printemps

letras aleatórias

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