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letra de six heures sept - rs scar

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couplet 1 :
réveil 6h07, j’ai veillé tard hier
sur mon téléphone j’ai les yeux rivés
il fait nuit dehors j’en ai marre de l’hiver
toujours la même routine, normal que j’sois pas motivé
lit superposé j’descends du premier niveau
j’comprends pas j’suis lessivé
comme si j’avais la tête dans les caniveaux
une main lave l’autre ensemble puis lavent le visage
c’est bon pour la journée mon système est activé
j’me prépare, pas trop tard
je veux suivre ma route, pas marcher sur le trottoir
trouver le sens de ma vie comme tal
sans regarder l’gps de mon portable
j’mets mes seuls vêtements portables (hey)
j’me sustente à 6,30 du mat, j’look la windows pas l’mac, prêt dans ma tête à goumer tous ceux qui me parlent mal, leur faire la peau sans pomade, rien n’va se passer ça va être une journée comme les autres, une journée normale
j’sors musique dans les oreilles
amour platonique entre mon tel et mon casque bluetooth, j’m’émerveille d’ce décor vermeil, d’autres préfèrent les feuilles d’été ou d’printemps, mais en vrai j’les aime toutes
petite balade pour aller au tro-mé dans mon palace j’serais assis sur mon trône, j’vire de ma playlist les sons que j’trouve en trop
j’prends pas l’bus, il n’y a jamais deux 103
en marchant j’vois des sans toits, j’fais l’chemin seul, tu t’lèves trop tard donc j’le fais toujours sans toi

couplet 2 :
grand 8 ligne 8, a7
j’tiens la barre pas d’place assise, elles passent à 6, déplace l’iris, mes poils s’hérissent, hélas, faut pas qu’je pense à ça : c’est dégueulasse
vent d’liberté quand je sors, je respire l’air pur, j’vesqui les pubs, j’y mets du cœur, encore et encore
je marche lentement c’est dans mes gènes
les collégiens sont plus jeunes
l’temps est pluvieux, qu’il pleuve, qu’il neige qu’il grêle j’admirerais la tour eiffel
j’passe la brume m’émerveille, j’essaye d’marcher droit sur la montée à bout d’souffle, mes poumons s’ouvrent, mes poumons souffrent
clin d’œil au vigile, il m’connaît
j’me fais chier j’me prends pour un poète comme virgile ou homère
premiers crimes je commets, premiers devoirs j’omets, sont trop jeunes, impossible qu’elles soient siliconées, fais pas l’étonné
cours au lycée, les heures passent comme les années, j’suis d-mné donc impossible de caner
j’sors enfin d’cet ennui, même texte pour le retour, j’attends juste le repas, rappelle moi que j’suis que d’passage comme une ré-ssoi, et si j’manque à ma tâche et que déçois
sache que la boucle est bouclée
la routine c’est une course avec moi même, où je dois me doubler

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