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letra de chevaleret street lyriciste - rochdi

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[paroles de “chevaleret street lyriciste”]

[intro]
chevaleret street lyriciste
krystal (krystal)
joubinn, mike, m.a.d.j
r.o.c.h

[couplet unique]
le nectar sucré caresse tes amygdales
2010, les lyricistes sont d’retour dans la capitale
j’ai des rimes sales, comme les avant-bras d’un toxico
on vient d’paname, chez nous ça tire, comme dans les rues d’mexico
y a pire que boire d’l’alcool ou consommer d’la drogue
y a laisser crever ses soldats, pendant qu’toi tu t’empiffres comme un proc
les p’tites groupies pourront sucer d’autres glands
à trois heures du matin, j’ai les couilles vides comme une bouteille de clan
on a sorti un album, on dirait qu’personne ne l’a entendu
j’fourre deux meufs le même jour, et l’soir j’suis encore tendu
mon estomac m’brûle, y a d’la crasse dans ma cage thoracique
faut j’la crache sur l’beat, quand j’écris j’bave comme un pit’
les rêves de tony, les cauchemardes de carlito
écoute-bien les rimes de mes soldats, dans mon crew y a pas d’mytho
que des frères, même si on n’a pas l’même nom
dans ma prochaine vie, j’choisirai d’être un aigle comme agamemnon
j’n’ai confiance qu’en mes instincts comme un lion
mourir d’une balle, après s’être fait dépucelé par une timpe dans un camion
impulsif, trop gourmand, la source de la plupart de mes tourments
ma putain d’vie a pris un mauvais tournant
y a rien d’plus dangereux, qu’une langue bien pendue
est-ce-que on est des mauvais mcs parce que notre dernier scud s’est mal vendu ?
j’ai savouré d’la bonne résine bien grasse, tous les soirs
dans des ruelles aussi fines que des lames de rasoir
siroté du venin, faire couler des litres de sang
certains d’mes acolytes étaient déjà alcooliques à vingt-deux ans
la journée est longue, la drogue est beaucoup trop douce
quand j’avais dix-neuf ans, en trois jours j’éclatais un gros douze
loin des fixs d’hero’, des lignes de coke, des vapeurs d’éther
la fortune sourit toujours aux jeunes soldats les plus deter’
j’préfère attraper l’dass’ que trahir mon pote le plus fidèle
si elle est bonne, qu’elle aime l’oseille, faudra qu’tu te méfies d’elle
t’aimes pas mon style, j’fais partie des plus fins lyricistes
des punchlines de pure crystal, j’rap des substances illicites
j’reviens régler les comptes
j’ai plus d’amour pour un chard-clo qui fouette sa mère, que pour une baltringue qui s’la raconte
ma rage incrustée dans ma chair, toute la nuit j’erre, c’est pas l’argent qui f’ra revenir un être chère
du royaume des ombres, on sombre par passion, j’me suis fait une raison, nos sons n’passeront jamais sur les ondes
le démon tourne autour de mon corp et m’empêche de voir l’avenir
j’suis déjà mort j’traine dans la ville, comme un zombie d’haïti
cette vie, y en a des plus forts que moi qu’elle a anéantie
étrange comme les soldats les plus braves sont souvent les plus gentils
des cicatrices infectées qui ne demandent qu’a s’rouvrir
tu s’ras jamais un homme, si t’as pas appris à souffrir
ma seule amie, c’est la faim comme le leader des doors
impossible de parler d’amour, j’ai plusieurs balles dans l’torse
ferme les yeux, ressens la puissance de nos mots
la mort avant l’déshonneur, plutôt voler qu’faire l’aumône
krystal, chevaleret street, lyrics de prestige
j’écris mes rimes, j’entends les loups qui hurlent dans la nuit
faut que j’prie pour mes sœurs, toutes celles qui connaissent la perdition
j’ai la devise de léonidas : “pas de retraite, pas d’reddition”
la rue incru-sté dans l’corp comme une drogue dure
cette vie hardcore a fait d’moi une putain d’ordure
le bon-char m’attend, tôt ou tard faudra qu’j’y aille
perdu dans la jungle vietnamienne, j’suis déjà mort comme un g.i
on s’est sûrement croisé dans une autre vie, on crèvera dans notre ville, j’bois du sang impur et j’crache de l’eau d’vie
on erre à jeun dans la jungle à la recherche de cash et d’vagins
jjindre de plaisir, en laissant couler un léger crachin
un torse de taureau forgé dans lérins, de l’air un peu toxique dans les poumons, une série de coups de surin dans les reins (dans les reins)
j’suis un des rappeurs les plus vulgaires, si t’es un vrai soldat j’te souhaite de mourir pendant une guerre
y a rien d’pire que trahir la confiance d’un frère
j’ai joué avec le feu, j’sens déjà les caresses des flammes de xxx
fin quatre-vingt-dix, des mecs braquaient des brinks, des gros lers-dea s’faisaient du bif
aujourd’hui, ils parlent tout seul avec leur tise
on sort des disques, mais combien d’rappeurs les amortissent ?
jusqu’à la mort on s’battra comme jacob “tito” ortiz
t’exhibes ta villa sur la côte et ton yacht
pendant qu’en taule, dans des cellules puantes survivent nos coyotes
des lascars perdus se sont fait buter pour moins d’une barre
combien d’mes frères sont partis de rien, pour arriver nul part
ce soir, tous les loups sont dehors, écoute le son d’ma horde
d’la rage oxygénée logée dans l’aorte
nettoyer son cœur, dompter son côté sombre, et seul dans ma cave toute la nuit j’freestyle avec des ombres (freestyle avec des ombres)

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