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letra de 97 mesures - rémy

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[paroles de “97 mesures”]

[intro]
ouais, ouais, ouais, ouais
c’est rémy

[couplet unique]
on est souvent déçus, ici, ça marche qu’avec les sous
fais gaffe à tes amitiés, j’te l’ai dit dans les caissons
j’pourrais pas m’calmer sans ma plume, moi, tu m’vois marcher sans mes loups
j’te veux comme monica bellu’ et qu’tu sois marrante comme baloo, eh
elle date l’époque du ballon quand j’regarde plus souvent la lune
attention, les inconscients, ils sont confiants, ils ont pas d’thunes, mec
que des tragédies dans mes textes, j’ai dit que la vérité comme à kourtrajmé
hiеr encore, j’étais ce p’tit sans problèmе dans le square
les condés sont d’sortie quand j’rentre avec ma balle
j’en vois beaucoup du 13ème, la cité dans le noir
la musique ça m’remémore les trucs que j’voyais dans le parc
tout était gris et d’jà écrit à c’moment là
petit rémy grandit dans une ville où la nuit, c’est pas dracula, qui choure, qui sort le 9
un gilera tout neuf arraché dans les rues d’la ville la veille
ce soir, y a deux copains qui vont remplir la tirelire my friend
c’est comment les gars ? tu m’croyais mort ou t’es teubé ?
j’suis la french qualidad, la bonne de-vian, un bon bœuf de kobe
attends stop, change de son si d’moi t’as douté
quand j’étais p’tit et qu’tu m’disais “gros lard” faut t’arrêter
j’veux les billets couleur daltonien
toi, tu prends que c’que l’mal donna
tu connais la rime d’après ça d’vient ché-tou comme madonna
oh, elle t’a trompé la connasse mais tu t’occupais pas d’elle
j’ai reçu des accolades pourtant j’sentais que des lamelles
plus j’maigris, plus j’ai la dalle
oh non ma haine s’est pas taillée
pourtant bâtard j’ai bataillé
qu’tu me crois ou pas, j’m’en fous t’as vu
dans tout les cas, j’m’en fous de ta vie, appelle-moi rémy camus
p’tit d’la tess ou grand d’la ville
p’tit d’la tess ou quoi ?
vu c’qu’ils t’servent à manger, on dirait qu’tu prendrais pas dans l’plat toi
si c’est toi qui tiens la barque, j’préfère nager qu’être dans l’bateau
les voisins qui crient “y en a marre” et qu’entendent “j’arrive chez toi”
tu peux rentrer dans la cité mais en sortir, c’est moins fastoche
elle rapporte du bif la sacoche, il est content, il a sa kich
des fois les mauvaises langues accordent peu plus de valeur dans ma vie
m’barrer loin du littoral, j’sais pas c’est quoi mon idéal mec
mais idéalement, j’vois un gros paquet d’biffe qui m’harcèle
aller voir nasser à m-rs-ille
un sourire qui fait du bien, un r’gard froid qui m’a détruit
une bonne action inconsciemment, les ingrats n’ont pas la magie
y a des corps dans la forêt, des imposteurs décorés
tu penses que s’entendre, on pourrait mais j’dis pas tout comme la corée
j’ai mal et j’t’en parle pas moins, il caille dans le hall du bâtiment
bâtard, me tends pas la main et remballe tes compliments
y en a ils s’tuent aux comprimés, d’autres baisent à porte de la villette
j’ai fait couler l’encre, y a pas d’bateau mais à mort y a les sirènes
pendant qu’mes gars font cantiner moi j’continue, jamais j’arrête
un continent d’erreurs pour polluer une planète
sur la falaise, j’ai vu tout, tout même c’qui m’intéressait pas
au rond-point, j’ai fait l’détour pour éviter les motards
reste pas là petit, tu connaîtras des mecs qui connaissent pas la pitié
dehors, c’est mauvais, c’est pas un fait, c’est une fatalité
j’m’en bats les couilles d’son boule à nicki, j’veux plus de tal’ à piquer
j’me réveille sur un son d’avicii, p’t-être pour oublier la cité
j’renie pas mes valeurs, elles m’ont ramené de l’aide (ramené de l’aide)
quand j’allais m’étouffer, elles m’ont ramené de l’air (ramené de l’air)
ce soir, j’ai envie d’oublier, tu peux ramener de l’herbe
j’étais dans le bat’, dans les escaliers, j’voulais mes cadeaux mais
une vie terrible faite de pleins de choses, l’amitié tient qu’à un grain d’sable
mes humeurs m’chuchotent, j’vais échouer ma foi, elle m’fait remplir des salles
la mélo’ do-ré-mi-fa-sol, ouais j’ai la mélodie facile
j’pose pas assez mon front au sol, des fois j’me d’mande qu’est-ce qui me fascine
un humain, combien d’facettes ? combien d’secrets ? combien d’passés ?
j’rafistole pas c’qui vient d’casser
le p’tit en cross il vient d’chasser, tu dois détal’, il vient t’chercher
parle pas si c’est pour tchacher, ça va vite, pas l’temps d’se lasser
j’envoie tout, j’prends mon billet pendants qu’mes ennemis, ils croient qu’ils ont couillé
si j’vide mon sac, tu vas douiller, si j’accélère, j’sais que tu va ralentir
après tu vas mentir mais remballe ta fierté mal placée
comme le comico, j’ai vu l’temps passer du haut d’mon bâtiment
mes frères, c’est le zeur biggy et les autres
que j’ai tant dédicacé dans tout les sens
tape mon nom sur wiki’, j’ai commencé j’avais pas l’wiko
bagarre, t’as perdu ta chico, gent-ar t’as r’ssorti la lyca
j’fais l’ancien comme un vinyle, j’envoie la pure comme un nouveau
comme un rookie, comme rycky charismatique, comme un peaky
crois pas qu’tout garder en toi, c’est être un homme
c’est être un con même tu peux m’croire
moi, j’ai d’jà perdu l’envie, heureus-m-nt qu’y a toujours d’l’espoir
le soir, c’est pareil, boire, fumer de l’herbe
pendant qu’tu pleures pour avoir l’dernier jeu, y a une famille qui fouille dans ta poubelle
un jour ou l’autre, j’vais m’en aller mais sur ma vie qu’on m’verra pas
j’rappais y avait personne, j’réussis maintenant dis-moi y a quoi
j’pars un an, tout l’monde m’oublie, y en a peu mais là j’vois qui reste
écoute-moi bien, j’ai pas d’groupies, j’respecte mes fans, sans eux j’suis r
fils de putain, j’ai trop les nerfs, tout l’temps, moi j’retiens mes paroles
vous inquiétez pas là chuis en r mais bientôt sûr j’prends l’gros pactole
j’passe en mp3 et tu m’crois millionnaire, j’m’habille au millénaire, putain gucci qu’il baise sa mère
j’mets pas 2k dans une ste-ve, j’checke iky vers la cité verte
j’investis pas pour être en perte mais j’perds mon temps quand j’m’investis
pour toi, pour lui et même pour elle, j’tourne en rond comme une poulie
la rue, ça pique comme le plat d’un tounsi
j’te raconte autrefois comment ma vie c’était d’la d
ça a tellement changé l’époque des gars sur d’la teufrai
si on doit mourir un jour, bah moi j’veux finir en beauté
deux, trois albums sous-côtés, deux, trois millions sur l’côté et j’suis refais

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