letras.top
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de lamanif vs. artik - rap contenders

Loading...

[round 1 : artik]
faites juste un tout p’tit peu d’bruit comme si j’étais connu comme lui
parce que c’est une star ; moi, j’l’ai jugé, hein
tu t’souviens ? j’t’avais jugé contre cheef, et j’avais donné cheef gagnant
mais, avec le recul, la vidéo, aujourd’hui… j’donne cheef gagnant
j’étais là à l’éclipse, au new morning, au cabaret
j’t’ai vu grandir, rc, j’ai vu les merdes que t’as ramené
j’ai même jugé nekfeu/lunik : j’me rappelle des textes à fond
d’ailleurs, j’vais même faire un extrait… j’ai peur des problèmes de son
toi et moi, on n’a aucun point commun, y’a même un énorme contraste
dony m’a envoyé un mail pour faire le rc 1, t’as envoyé cent mails à dony pour faire la draft
parce que t’es un genre de loser qui aime les phrases de perdant, genre, et là, j’t’imite : “soit je gagne, soit j’apprends”
on peut dire qu’au rc t’as beaucoup “appris”, ces derniers temps
parce que, moi, pour gagner, ça va mais, pour perdre, j’ai besoin d’être conseillé, d’être référé
quand tu t’fais bodybag, c’est quoi ta position préférée ?
toi, tu veux m’battle avec ta tête de… castaner ?
ça, j’ai du mal à l’avaler, j’suis pas ta mère
son ratio, c’est d’la merde : sur deux battles, t’en perds six
tu persévères, tu perds, tu veux m’battle : tu persistes
même en équipe, tu perds le score
tu perds face à k5, tu perds le nord
tu perds même dans des ligues qui louent des vieilles salles des fêtes
tu perds tellement qu’même quand tu gagnes, tu perds ta défaite
et tu gagneras pas non plus avec tes phases où tu mets l’nom de l’autre dedans
parce que c’est d’la merde, les phases où tu mets l’nom de l’autre dedans
du genre : “j’vais t’baiser, c’est dans ton horoscope, mais l’as-tu lu… dovic ?”
“tiens, j’ai une p’tite faim : personne n’aurait un prince de lu… dovic ?”
oh, j’peux pas faire une mesure de plus avec ce truc horrible, ou alors j’vais essayer mais avec “ludovic”, voir
bon, déjà, y’a un truc qui n’marche pas ce soir, c’est “ludovictoire”
d’ailleurs, la victoire : tu louches dessus, et ça depuis toujours
tu t’es fait opérer pour perdre ta myopie et t’as perdu… tout court
et, depuis, c’est marrant parce que… (regarde-moi)… oula… t’as l’œil gauche qu’a l’air d’espionner vers l’œil droit
comme si l’œil gauche était d’gauche et le droit, lui, d’extrême droite
comme si l’œil gauche voulait droiter l’droit mais, comme il est gaucher
il peut qu’observer sur la gauche, attend qu’l’œil droit veuille bien loucher
et ça t’rend pas beau gosse du tout
ça t’fait un regard de pédophile, mec, t’as plus l’œil en face du trou
(un peu d’respect) et puis, l’œil qui reste, là, celui d’droite, là, celui-là, il est tout cheum’
tu veux croiser nos regards ? le tien se croise déjà tout seul
tu t’es fait voler tellement d’battles, c’est prodigieux
mais, déjà tout p’tit, tout l’monde te volait tes sucettes
et t’essaies d’nous faire croire qu’tu t’es fait opérer des yeux ?
alors qu’en fait on t’a juste volé tes lunettes
pour une fois dans ta vie, regarde-moi droit dans les yeux, fais-moi c’t honneur, man
bon, et nique sa mère, continuer d’loucher d’l’œil droit, fais comme stunner, time
[round 1 : lamanif]
hey, salut artik, ou devrais-je dire “leonardo di caprio”
vous savez pourquoi j’l’appelle “leonardo di caprio” ? parce qu’il trouve qu’il ressemble à leonardo di caprio
bon, j’sais pas… quelqu’un d’entre vous lui dit ? moi, j’pense que t’as bu beaucoup d’whisky ou d’8.6
à c’moment-là, saminem, c’est bruce willis et, youm, will smith
écoute-moi bien, leonardo, j’t’expliquerai, un jour, si j’ai l’temps
pourquoi tu ressembles beaucoup plus fidèlement à michel blanc
ok, j’suis haut en couleurs, j’ai un style bariolé
toi, t’es ni riche ni beau, alors que di caprio l’est ; et t’as une coupe de type cabriolé
ouais, j’vais faire des phases de chauve alors qu’je l’suis aussi, et j’trouve cette pratique dangereuse
mais, moi, j’ai juste un léger dégarniss-m-nt d’ch’veux donc, hiérarchiquement, j’peux
j’connais l’secret des types qui portent toujours un chapeau
vous savez c’qu’y’a en-dessous ? bin d’la peau
j’plonge dans ton cul, j’suis dans une sorte de mood d’homme-grenouille
tu n’es pas comme nous, j’remplis ton r-ct-m de nouilles, ta casquette cache un énorme nude
ok, y’a vingt ans, t’étais c’jeune rappeur avec une chevelure dorée, tu n’en es plus doté
puis tes impro’, c’est comme tes cheveux : sur-côté
d’ailleurs, nique tes impro’ d’merde, espèce de suceur de bites notoire
à chaque fois qu’j’t’écoute, j’fais “ha-ha-ha” comme plusieurs denis brogniart
t’as une espèce de tête très amusante
on dirait une paire de fesses sans l’-n-s entre
yo, j’vais t’dire un truc que t’aimes pas entendre
arrête de jouer au rap, t’as quarante ans
et ça s’voit, t’as tellement une sale tête de vieux
toi, c’est wojtek qui t’appelle “monsieur”
quoi ? t’as eu d’la peine ?
j’abuse à peine, mathusalem
t’as connu l’allemagne de l’est, son étendard, son drapeau
t’as connu yoshi dans sa jeunesse, t’as connu marshall’ombre ado’
tous les types du rc qu’on trouve vieux, lui, il les connais du lycée
et vous savez à quoi il ressemble, aladoum maigre ? bah, lui, il sait
ok, ton truc, c’est l’impro’, mais c’est d’la merde, j’t’explique, j’espère que t’as des flips
ils veulent tous t’entendre improviser donc tout l’monde s’en tape des textes que t’as écrits ; time
[round 2 : artik]
yo, yo, j’suis p’t-être pas son sosie, mais y’a un truc qui s’négocie
j’ai appelé leonardo, et il dit qu’à priori, il a ken’ ta mère aussi
yo, j’ai joué dans des films avec des répliques identiques aux siennes
j’ai joué dans fister island, infection, éclate-moi si tu peux et tita-nique l’om
et il est venu essayé d’me parler d’ma “chauverie” et d’mon crâne luisant
mais tu l’as bien dit : j’suis pas chauve, j’suis en avance, j’suis toi dans six ans
yo, tu dis partout qu’tu niques ta mère : là-dessus, on fait la paire, j’te crois
donc, toi et moi, on nique ta mère, mais j’nique ta mère mieux qu’toi
faut qu’on arrête ce plan à trois, j’ai l’impression d’être en équipe
tu niques ta mère, je nique ta mère : on a qu’à dire qu’on est quitte
ta mère suce depuis l’enfance, même à l’époque, elle était cheum’
ta mère, c’était déjà une pute quand morgan freeman était jeune
pour avaler, c’est la reine, personne veut qu’elle bouge du trône
elle suce tellement à m-rs-ille qu’on dit qu’c’est elle “la bouche du rhône”
yo, sa mère, elle a pas un cl-to’, elle a un stick d’arcade
ça m’dégoûte, sa mère, on dirait un clip d’arcanes
même si j’dois avouer qu’on l’a pas trop fait, à vrai dire, j’l’ai même pas pinée
non, j’rigole : sur sa mère, j’ai tous les trophées, j’l’ai même platinée
puis, j’vais t’dire un truc que t’a déjà dit ta meuf mais, ce soir, j’te sens pas d’dans
d’ailleurs, sa meuf, même si c’est pas mon genre, j’la nique, elle fait ça fort, la p’tite
elle avale tout sans jamais tordre la bite
moi, j’adore juste quand elle absorbe la p-sse
toi, tu lui fais l’amour sur du jorja smith
nous, on lui défonce les amygdales, on l’appelle “gorge à pipe”
elle mouille tellement, quand j’la doigte, ses lèvres s’écartent, se splittent
sa chatte me fait genre -tchip- : sa chatte me tchipe
yo, yo, arrête de m’regarder avec ta tête de keuf flippante
tu baises des cadavres aux chattes bleutées dans plein d’caves, plein d’morgues
la première fois où il a ken’ une meuf vivante
elle l’a branlé, il a dit : “wouaw, elle y va pas d’main morte”
parce que, pour qu’une meuf le kiffe, il faut qu’elle n’ait plus d’goût
pour qu’elle accepte que tu la niques, il faut qu’elle n’ait plus d’pouls
pourtant, t’aimes les histoires d’amour, autant qu’les photos d’son cul
t’es genre : “onze ans, hein, mais avec des gros seins, j’suis pas pédo’ non plus”
mais, moi, j’sais pourquoi t’es comme ça : à neuf ans, il a pris un coup d’vieux, et j’parle pas d’son apparence
il avait un tonton très câlin qui aime les câlins en cadence
tu t’es fait violer toute ton enfance par ton oncle michel
et ne m’dis pas qu’c’est faux : tous les blancs ont un “oncle michel”
t’es nostalgique de son regard, de sa p’tite moustache qui chatouille
les poils de barbe que ta mère retrouvait pleins d’salive sur tes couilles
yo, yo, dans son crâne, y’a qu’son fantôme, c’est un bête de manoir
tu traîne des centaines d’hématomes, comme les fesses de magloire
et, pour t’rassurer, tu dis que c’perso’ est inventé et qu’sans ça on n’a plus d’angle
mais, sans c’perso’, t’es plus grand-chose, ludo’, j’trouve ça imprudent
ce serait comme avouer à tous tes fanatiques que tu vis que d’ton métier
ludo’, t’es plombier, tu fistes que ton évier
là, j’viens d’l’écarteler, t’iras faire quelques soins
j’viens d’fister super-fisteur, et c’est une belle victoire au poing ; time
[round 2 : lamanif]
ok, vu qu’t’as commencé ta carrière au rc comme juge
j’vais t’enculer jusqu’à c’qu’ton r-ct-m jute
tu l’sais donc pas ? j’n’aime pas les juges, derka et jude
si je croise un des deux, il mettra des jupes
j’sors de ma cage, j’t’explose le coccyx, le bassin
ce soir, j’encule un juge, comme “le gorille” de brassens
j’veux des putes, j’veux pas d’une fille bien ou d’une copine discrète
mais f-ck les juges, vous m’avez plus volé que drogba, “it’s a f-cking disgrace”
j’suis pas un homme, j’suis une machine, ça va durement saigner
j’reviens du futur renseigné, ce soir, tu crèves : ton dernier jugement, c’était ton jugement dernier
ça, c’était terminator 2
tu termineras l’corps bleu
t’as l’cul qui fume comme un fumigène ou une usine sh-ll
j’suis un putain d’feu rouge, t’es le juge michel
mes phases t’égorgeront ; j’suis l’descendant de wojtek, c’est moi l’king
toi, il a juste niqué ta mère, tu es le fils du forgeron : akim
god d-mn, moi, j’refuse de m’faire juger par un juge
qui s’est fait juger par dave
parce que, voilà, il a fait la france a un incroyable talent
(non, c’était bien, c’était pas mal)
c’était pas mal mais comment diable as-tu fait pour y accéder ?
“la france a un incroyable talent”, mais elle a aussi artik et faut l’accepter
ce soir-là, t’étais accompagné d’lunik et res, donc autant dire pas seul
t’étais l’seul pas connu, on a senti qu’t’as l’seum
et c’est là qu’tu lâches, je cite : “j’me positionne comme anti-battle”
ok, le mec se positionne comme “anti-battle”
“anti-battle” ? quelqu’un lui a expliqué l’concept des rc ?
tu vas détester
yo, j’suis vraiment surpris, écoute-moi bien, “l’anti-battle” endurci
si on t’dérange, tu l’dis
un “anti-battle” battle mc : on n’sait plus qui est quoi
t’es comme un h0m-phobe qui s’est déjà pris des doigts
un négrier noir, un juif qui n’a pas étudié l’droit : oui, j’ai l’droit
un juge qui défie les lois, un gaucher qui tire du pied droit
un feu qui est froid, un homme viril qui s’épile les noix
un groupe de deux qui est trois, un ouvrier d’droite
ou alors un shooter qui n’marque jamais d’panier
un blanc qui n’a pas ses papiers, un cul-d’jatte qui passe par l’escalier
mais ça n’m’impressionne pas
ce soir, t’es face au véritable champion qui n’a jamais gagné ; time

[round 3 : artik]
j’ai fait end of the weak, j’suis champion du monde de cette merde
tu devrais l’faire : ça te ferait une autre ligue de battle où tu pourrais perdre
le end of the weak : on fait des freestyles bag en cypher
j’ai mis ma main dans un gros sac, c’est un peu comme fister sa sœur
toi, tu veux m’parler d’télé ? alors qu’à tpmp, t’es parti t’faire plais’
que t’étais même pas payé, tu t’es juste fait sodomiser par gilles verdez
moi : incroyable talent, on a fait neuf millions d’téléspectateurs, vrai d’vrai
j’ai été jugé par un g-y et un violeur : ça, t’aimerais
si tu t’étais fait un piercing à l’arcade à chacune de tes défaites
eh bin t’aurais une bonne tête de wojtek
eh yo, dony : la prochaine fois, j’veux un battle mais sans pitre
donnez-moi cheef ou un d’ces gros porcs-là, qui s’empiffrent
lamanif, c’est pour le sport, yo, j’suis sans filtre
si j’prends louvar, il repart vivant mais sans titre
parce que j’suis un king en freestyle, j’ai comme des mauvais réflexes
j’improvise mes victoires quand, toi, t’écris tes défaites
t’aimerais faire ces trucs sans effort, sans forcer
les mc forts au rc ont percé : toi, t’as percé au rc
pourtant, tu m’impressionnes : chaque fois, j’me demande si j’suis d’taille
l’autre jour, t’as fait une impro’ au rc, c’était un truc genre : “time”
lamanif est incapable d’improviser quoi qu’ce soit
il a voulu improviser une soirée hier, elle aura lieu dans six mois
une meuf lui dit : “baise-moi tout d’suite, fais donc preuve d’imagination”
il est genre : “allô dony, j’ai combien d’temps d’préparation ?”
et vous êtes tous pareils, toi et ton crew d’plombiers : tous salopettes
dans ton groupe, tout l’monde est identifiable
t’as lamanif qui fait des blagues, hermano qui fait des fables
t’as tetris qui fait des… mots, en attendant d’faire des bars
et t’as les autres membres du groupe : eux, c’est des mecs avec des barbes
pourtant, en solo, ici, tu t’es fait un nom, ici, t’es presque une star, f-ck
ton nom : moi, j’en ai rien à foutre, comme un employé d’starbucks
toi, t’es ici pour m’avaler comme une pilule de morpheus, merde
j’te crache tout dans les sinus et, quand tu t’mouches, ta morve, c’est du sperme
t’as fait comme tous ces rappeurs nuls : créer un perso’ tapageur
t’as plongé si bas : pour en parler, faudrait qu’j’me fasse manaudou… putain, quelle rime de nageur
hé, il a voulu la couronne mais il est pas assez costaud
alors, ce soir, je viens reprendre ton royaume sans l’vouloir, un peu comme jon snow
dis-toi qu’j’vise ton trône de fer qui rouille, donc enjoy
chez moi, le feu est grégeois, ses couilles sont greyjoy
et c’est ce type qu’est venu à paris mal parler du maillot parisien
(j’m’en charge)
dis-toi que j’préfère couler un bronze long, liquide, manger un étron d’fion livide
me faire doigter par ton tonton stérile devant onze blondes viriles
j’préfère même écouter ton son, tes hits en m’branlant au son d’tes clips
plutôt qu’d’porter une seule fois l’maillot de… c’est quoi l’nom d’ton équipe ?
hé, on calme l’atmosphère, d’ailleurs, demain, j’fais une fête, un p’tit repas bien garni
y’aura genre une raclette, un tas d’fromages, plein d’amis
deux/trois recettes mexicaines, plein d’épices et, d’ailleurs
j’invite k5, aladoum, doc brrown et driver
y’aura aussi des hamburgers, du wasabi, plein s’sushis, les potes
ludo’, j’t’invite aussi, mais après-demain pour déboucher les chiottes
yo, dis-toi que j’mène, j’lève la barre genre next level
toi, t’es juste un mec lambda bon à lèche des teubs
dis-toi qu’wojtek et toutes tes salopes même me veulent
j’suis le rc 16 à moi tout seul, le main-event
hé, yo, yo, j’faisais d’jà flipper les mauvais mais, là, les bons prennent peur
j’m’appelle artik, j’ramène le rap au rap contenders ; time

[round 3 : lamanif]
quand j’t’ai proposé l’battle, tu m’as pris pour un dingue, tu l’as pris pour une blague
ce soir, j’vais t’prendre pour une dinde, ça t’fera une bonne raison d’me prendre pour une farce
j’prends pas les femmes pour des objets
mais j’ai une multitude d’objets qui pourraient t’prendre pour une femme
si j’le traite pas d’enculé, c’est qu’j’suis trop occupé à l’faire
j’vais tellement copuler avec, il va ovuler d’la fesse
tu sais c’que j’te fais, là ? bin j’t’encule
j’crois qu’on n’me présente plus
ça va être très rapide, reste en pull, j’t’encule, j’te dés-encule
puis j’te ré-encule jusqu’à c’qu’t’aies la raie en “u”
tu ferais mieux d’protéger ta nuque, arrête de croire que tu rappes comme ghostface
j’vais tellement d’molester l’-n-s, il va pleuvoir des morceaux d’fesses
tu sais pourquoi j’t’encule pendant tout un couplet ? parce que j’fais c’que je veux
ça sera comme une queuleuleu mais que de deux (ça, c’est des raids, tu vois ?)
mec, j’suis pas ta pute, tu vas p’t-être dire qu’la chute t’a pas plu
mais j’t’encule jusqu’à qu’ça pue
j’ai des pratiques qui sont guère acceptables
j’t’encule avec des outils en matière malléable, c’est pas hyper agréable
quand j’baise, j’suis un peu brut, j’suis pire qu’un bœuf
j’t’encule avec un pic, un pieu puis un pneu, tu me l’dis si ça pique un peu
j’t’enfonce des objets pointus, des bouts d’verre larges, fourchettes, couverts, lames
j’te brise la nuque : t’auras la tête ici et le cou vers là
yo, j’t’encule pour des clopinettes et c’est triste
j’t’enfonce une trottinette électrique, un grec, une toastinette et des frites
yo, c’est moi qu’ai l’plus gros quota d’rimes
j’rentre dans ton cul comme un terroriste aux locaux d’charlie ou comme charlie dans ta chocolaterie
et j’suis féministe, j’me tripote, le soir sur des p-rno’ où les femmes portent le voile
puis je t’encule avec très très précisément n’importe quoi
tu t’es fait violer toute ton enfance par un homme de foi
si l’sida existait à cette époque, tu serais mort deux fois
connard de juge, j’encule cet homme de loi
moi, j’ai une plume et des couilles, c’est c’qui différencie l’homme de l’oie
mais, si t’étais une oie, j’serais interdit aux states, mais j’fais comme j’veux, moi
car j’mets mon tube tout au fond d’ta gorge jusqu’à c’que ça t’explose le foie #foiegrasbars
parce que c’est bientôt les fêtes, mais ne faites pas trop d’folies
puis, ceux qui râlent parce que j’parle trop d’sodomie, c’est mal : c’est d’l’h0m-phobie ; time

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS

Loading...