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letra de furax barbarossa - polokus

[intro]

polokus
“toi et tes dieux vous vous trompez”
eh ouais
“je suis le maître de mon destin”

[couplet 1]

y’a mes peurs qui m’incisent quand la prod glissent dans mes mâchoires
j’ai le coeur qui grince, crisse, comme la porte d’un vieux manoir
j’ai ragé, gravi tant d’everest, le parvis semblait vrai
je n’ai d’vie dans la tess mais ça m’lie pas au rang des frêles
je m’agite en effet chaque balle caresse khoya
quand j’rap le bal s’arrête en cas d’paresse le soir je pars tout pâle schlasser l’brouillard
mon âme salive, c’est pas c’soir qu’j’arrête les taules
gué-dro, passe la iv’ à trois pattes comme jared leto
j’bois mes bouteilles à la mer bénie cette foutu barque
j’ai l’goût du crack en bouche, l’herbe m’épuise c’est l’coup du kraken
j’craque, ken, tout les verrous dans ma tête pour y voir clair
cheh
dans cette vie tu gémis ou tu raques
le sort m’écorche et m’touche, la ville c’est l’abattoir pour ça qu’j’ai sorti torches et fourches
je garde la foi, dieu m’revient pur, que dans les pires épreuves, j’l’écoute
j’n’en retiens que du sang, des cris, des pleurs c’est tout
[pont]

“j’ai façonné le cour de ma vie, et ma mort
moi, ni toi, ni les dieux, moi
c’était mon idée”

[couplet 2]

on t’sert bières et joint ça t’appâte, (boites, à susciter sous terre (???))
cerbère le chien à 3 pâtes boit ta (poudre?) six pieds sous terre
le bac à glace sonne comme un alleluia
une femme s’agace à coups de klaxon, lui commande d’aller bouillave
prêt pour le ragnarok, j’ai brodé low-cost une vie
rap (???) crache (??) drogue, forte est l’holocauste
comme ragnar lothbrok, ou drakkar fracasse des côtes
c’est rare que j’lave mes draps car la crasse m’épaule

sauvage, j’reste sauvage comme au temps des loups
dommage, on est dans notre rage donc entendez nous
entendez nous, voyez l’homme bâfrer des gras
enfoiré laissez nous aboyer comme ont fait des gars

sauvage, j’reste sauvage comme au temps des loups
trop d’rage s’répand dans la pièce mais la sentez vous
j’tise du clan y’a qu’les barres qui m’laissent les chevilles
du (????) j’suis du clan des clébards qu’on laisse au chenil
[outro]

“tu crois cela, alors c’est la vérité pour toi”

“aaaah tu parles par énigme”

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