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letra de l'odyssée de ni - nivek

faut croire qu’j’suis l’genre de mec qui finit les choses, finalement … j’frottais mes yeux j’voyais l’firmament. j’étais marrant on m’appelait le bavard avant la rumeur avant qu’la rue m’barbe et j’ai coupé l’ruban. avec des gros ciseaux des grossistes. avec mon posse jusqu’à l’hospice. j’irai dans l’esp-ce, fusée t’ai-je pris ? et si j’en tèj c’est qu’ai percé mon esprit avec épée et glaive à travers terre et glaise, j’ai fait mon escrime. pas à mon aise mais je m’exprime, mayonnaise se sent seul sur le grec frites. j’arrive de ces endroits, dont on extirpe, les trucs noirs cherche pas, délires mec street. il faut le croire pour le voir t’es sceptique. amène à boire pour ce soir j’suis sec type ! hin (rire !) il faut qu’on parle de mes déboires as –tu l’haut débit va-t-il pleuvoir ? ai-je ton estime ? j’ai mis ma pierre la d’dans j’ai rendu fière maman
vas-y chauffe clem, on s’les gèle dans l’kremlin, j’vais trouvez c’freezer et j’t’appellerai krilin. on en viendra à boo. tu captes le double-sens ? il faudrait qu’j’pense à grandir gars j’aime pas le goût du sang. j’suis a bout abimé nomade et sans remède, un bluesman de plus disons des temps modernes. tant d’modèles venus du mordor. chambre d’hôtel j’ai vu sur la ruelle . très loin des portes de la gloire hier encore chez pôle emploi
s’ils veulent m’avoir j’veux faire du cinéma les sidérer en clair leur montrer tout c’que j’envoi.non j’suis pas clair mais j’suis en vois ! oui ça va l’faire, merci au revoir. ah te voila toi ! moi j’ai mes voiles à moi. mais eux la bas n’ont pas la moelle à moi. j’ai grimper les toits, l’été à jouer dans l’étau c’était léthal c’était le temps du ter-ter mais dans l’détail on en a fait d’la de-mer, de sacrés bails
on s’aime on s’test, on s’déteste on s’fâche, on s’dépêche et puis on s‘détache. jsuis en jean sur la dune du pila, fais tes poches qu’on s’partage une pita. mégane ,r5 direction lie-l’ita, tchek la tour pise et qu’on s’enjaille en pizza
richard parker est dans le building, je sors en lambeaux de l’usine !
dans l’ascenceur y’avait de l’urine, je fus branleur je fulmine
je fus l’mime de mes compères,tu sais, moi le flutiste et ses converses
pet-t frère en cortez dans l’cortège !> demain est la.> mais dis moi dans l’corps qu’ai-je (d’une traite )
very bad héritage, lyrical végéta-amygdales beretta-adamantium véritable
t’as d’la ventol’ pour kevara ? guerilla dans la cabess mais qui va la ? d’la sagesse je n’ai qu’les dents quel vie d’malade, si on parle trop longtemps j’dessine des…

on va les mettre mandes-a-la, moi, bandana, bande à part, u.t.o.p.s est posté dans la barre j’ai vu partir la barque arrivé l’zèbre, le singe, la hyène le tigre et c’est pire qu’la bac. pire que la zep que saint’p, qu’no s-x,, que sais-je ? j’suis dans l’viseur du lance-caillou de bart. j’étais du côté des fark. j’écoutais du linkin park. vin-ké qu’est ce que tu fais la à trainer comme pierre paul ou jacques, je suis le mouvement comme un poum tchak ! et puis j’attends un grand coup de chatte, dans mon fauteuil j’reste intouchable ! germe en moi un mauvais herbage ! réserve-moi le siège sans airbag
comme un maire dans son garage, si j’suis amer c’est qu’j’men arrache. j’foutrais la merde dans les parages. y’a pas d’raison j’aime le partage !

encore du chemin à faire, encore les freins à faire ! frère !
j’me dit avance et ne perds nord-pas’l ! j’te dit surtout que j’suis qu’un mec normal !

- nivek

letras aleatórias

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