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letra de marseille en vrai - napo

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[couplet 1]
j’arrive cl-ssique m-rs-ille b.p.m. au-dessus d’100
cousin, range ton révolv’ on fait partie du même camp
la vie révolte donc on s’organise et parle vendetta
avec un mec dans ville au bar de gambetta
allen, regarde comme le maire s’fout qu’nos kho’ peinent
pense plus aux touristes qu’à nos problèmes
c’est c’que disait déjà les anciens d’uptown
sous le sun guetta, belsunce breakdown
aux terr-sses du port j’ai vu ton reuf’, relo
il faisait le boloncle avec une meuf d’allauch
il s’inventait des couilles et squattait le terrain
pour qu’elle laisse sa mouille sur la selle du r1
le sang, gare à toi ! t’es là où ceux qu’ont le moins dépensent
143 l’arrondiss-m-nt le plus pauvre de france
c’est dur d’leur faire admettre qu’ont conservent nos dogmes
comme trouver une place les soirs d’concert au dôme
au cimetière de saint-pierre trop de pet-ts ont fait arrêt
car les armes ont le même accent que les tapins du jarret
sur nos daronnes ne font que parler, fustigent
nos mères sont des reines mais pas celles du palais de justice
dans nos zones loin de là où l’or niche
10 e d’essence on roule sur la corniche
f-ck le monde et ses normes !
tu m’attends au tournant ? j’suis dans un des virages du vélodrome
avec winners, ultras, mtp ou l’avocat ou le gars du btp fait tébé
qui peut teste’ un “aux armes !” ?
mon rêve ? écoute-ça ! c’est plus d’rouler en testarossa
même si chaque crime se paie des fois je me dis l’humanité loge où ?
t’as vu la cr-sse du 2.3.9 morgiou ?
quand tu sors tu fais pleurer ta mère, t’as capté ?
ou tu t’refais dans l’droit chemin comme abdé !
un train d’vie à 200, le stress en parrainage
à en faire péter l’radar du prado carénage
c’est pas sur les réseaux sociaux qu’j’t’interpelle
je suis sur le terrain comme monsieur saw d’air bel
un “maxi suisse” au 626, j’m’évade comme ferrara
putain, t’as vu ? ils ont fermé “chez rara” !
relo, il n’y a rien de malsain, ça sert à rien d’parler
quand j’dis pointe au “cercle de saint barnabé”
noms de fleurs et d’arbres pour nommer nos bâtiments
deux fois 13 dans l’adresse, j’ai peur du châtiment
la france d’en-haut doute et reste horrifiée
on veut tout prendre comme ce groupe des “oliviers”
les pet-ts sur les bus urinent, la violence dans l’sac à dos
ils ont rasé les tours de picon mais pas le mac do’
même si le tableau est noir c’est pas le darfour, le frère, non
mais le bordel comme aux caisses de carrefour le merlan
génération qui a le regard qui en dit long
qui ne dit pas “je vais au grand litto” mais “à continent”
relo, toi et moi on souhaite que notre futur soit spatial
l’attente est longue comme le samedi soir au spécial
sous effectif, hospices sales, gores
demande à n-ssouf c’qu’il pense de l’hôpital nord
j’ai pris ta poitrine en pleine tête, namasté !
comme z.z. de la casté’ !

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