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letra de la définition de l'indéfini - nakatey

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j’ai inséré la pièce, c’est parti pour un nouveau tour
c’est les paroles d’un mec en détresse perdu dans le jour
j’ai envie de courir et partir loin, affronter l’blizzard
j’vis de mes rêves mais j’suis mort dans mes cauchemars
j’rap mes putains de textes déprimants seul dans la rue
comme si l’vent écoutez ma vision d’la vie dévêtue
j’fais du funambule sur le fil du temps
j’ai peur de l’avenir, j’suis moi même mon contretemps
j’veux pas être dressé ni apprivoisé
cœur froissé j’ai rien trouver pour l’rep-sser
on vit tous dans la tromperie et l’mensonge des grands
sans cesse trompé par tous ce qu’on voit sur nos écrans
on espère tous un idéal inatteignable
retouché jusqu’à être plus qu’acceptable
ils ont les cordes en main on fait qu’élire des pantins
que des esprits malsains j’veux pas penser à demain

l’humanité est malade j’tente d’appeler les ambulances
personne me répond à part mon écho pleins d’souffrances
la vie c’est comme un livre dont tu connais déjà la fin
le destin c’est la mort, mais on connait pas son chemin
bloqué dans des pensées ambigus, j’confond mes forces et faiblesses
j’ponds des morceaux pleins de justesse sans délicatesse
mes pensées sont des roses, dont les pétales fanent sous mes yeux
j’me pique sur les épines, mon inspiration retourne aux cieux
le sol est jonché de feuilles, dans ma chambre c’est l’automne
car toutes les idées sont bonnes, pour quitter c’monde monotone
j’crois que j’ai un problème y’a qu’la tristesse qui m’inspire
j’essaie d’améliorer ça, mais c’est de pire en pire
j’ai que 16 piges et mes paroles sont remplis de douleurs
j’comprends enfin pourquoi le noir recouvre toutes les couleurs
j’sais pas où j’en suis, la vérité lève sur moi son glaive
et j’en veux à cette réalité d’avoir gâché mes rêves

c’est quoi ce putain de monde, ou tout part de travers
tu crois qu’tu vis en paix mais autour de toi y’a que des guerres
j’exprime juste le dégoût que j’ai pour certaines choses
écrire tout le malheur du monde juste dans une seule prose
marre des gens orgueilleux qui se croient trop puissants
a la recherche du bonheur, j’ai rien trouvé d’apaisant
je vis avec ma plume alors j’monte dans les nuages
et même en haut du ciel j’vois le mal sur les visages
j’suis comme un sourd tourmenté par les cris du silence
comme un aveugle éblouit par l’obscurité de l’apparence
m’enferme pas dans une case, moi j’veux faire c’que je veux
me dis pas quoi faire, j’respecte pas les règles du jeu
le temps guérit rien, il change juste les souvenirs
alors ne laisse personne te dire ce que tu dois devenir
le sort n’est pas en ma faveur, j’essaye d’écouter mon cœur
guidé par la peur, normal que je f-sse des erreurs

en voyant tout cette haine j’me dis que l’humain est inhumain
la joie et l’malheur c’est deux manchots qui peuvent pas se serrer la main
j’puise au fond de mon crane, au plus profond de mon imagination
pour trouver les mots juste pour décrire ma situation
le savoir est une arme alors j’veux faire des attentas ²
parle moi de la société, moi j’te parle de vendetta
j’m’enferme dans ma bulle je veux juste disparaître
c’est le suicide d’une âme, prends ce son comme une lettre
l’horloge est c-ssée, j’aurai jamais mon heure de gloire
mes idées sont pas claires, j’tourne en rond dans un couloir
j’essaye de me concentrer mais j’y arrive pas
j’veux oublier le temps mais j’entends que son tic-tac
pour échapper à ce monde j’ai trouvé mes cachettes
j’fais que gratter le seum j’suis en train de perdre ma tête
j’ai tout pour être heureux mais j’arrive quand même à être triste
j”suis peut être l’acteur de ma vie, mais j’en suis pas le scénariste

mes choix sont les miens pas ceux écrit aux creux d’ma main
au fond tous mes sons c’est toujours le même refrain
dans ma tête j’me perds, j’ai de l’encre dans l’cerveau
j’ai pas l’moral, j’ai fait tomber l’bonheur dans un caniveau
mes idées s’cachent dans les grandes lignes de mon cahier
j’arrive sans attaches dévoiler mes quatres vérités
confessions d’un ado exprimées à travers un micro
regarde moi frérot, j’ai l’coeur en lame de couteau
j’vise la lune, j’finirai dans les étoiles
du-per dans la brume, j’essaie d’tisser ma toile
j’cueille pas la jour moi j’prèfere la nuit
j’ai pas peur d’la mort j’veux juste vivre ma vie
a force d’être défaitiste j’crois que j’m’y habitue
perdu dans l’irréaliste j’espère en l’espoir perdu
je plonge dans le gouffre sans fin de l’infini
finalement j’crois que je suis la définition de l’indéfini

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