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letra de night of the living dieppe part iii - mulotcore mc sheitan

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bienvenue au pays d’la peur
l’état premier terroriste
une fois redescendu d’la teuf
petit la vie c’est pas ”les choristes”
j’suis qu’un putain d’rappeur
jamais su danser vos pistes
jamais su garder une meuf
mais qui voudrait d’un putain d’autiste

mulotcore
je ponds d’inconvenus cemors
covenant. vous êtes prévenus je mords
j’ai pour seul drapeau deux léopards une tête de mort
après que lui soit parvenue par la postе la tienne
tes mеmbres morcèle
compacte et range dans la soute, l’h’encorcèle
siote l’hémoglobine
de ton emo d’copine
jusqu’à la dernière goutte
alien
ne prend plus d’heroine
insémine la petite newt
du game la clé de voûte
reste moi même
qu’importe c’que ça m’en coûte
pas de place pour le doute
ils ne partagent pas le loot
je ne parle pas quand j’les shoote
au bout d’7 jours
te pousse bêtement dans l’puis
puis referme le couvercle
moult références en stock même saoulé
reviens dresser le couvert
c’est cuit cuit miskin
t’as l’air soudain tout vert
car avec un bout d’verre
j’ai ton mou ventre ouvert
de la rime en douce sert
pour ce rap en vulgaire mousse
avant d’retourner poussière
ta vie l’univers s’en fout frère
pourquoi vouloir à tous plaire ?
la douce herbe entre deux bières tousse
candyman en personne
t’en rimes mal comme cent personne
baise la matrice comme anderson
aurai beau prendre tout air
ne suis qu’une épave
traduisant sa dépravation
dans ces carnets anarchistes
des frayeurs les plus enfouies sans casque
commande l’excavation
cochant une à une les cases
de ma fiche de sale artiste
putain d’libre, mon dieu c’que c’est grisant
méprisant d’puis mes dix ans
quand il s’agit d’hypocrisie
de pop ou de pédants suceurs du système
jolly roger unique emblème
écrits sanglants, rimes avec ou sans thème
vocalise l’horreur
quand se vocodent, s’autotunent encore
les robot-putes à sacem
ces bâtards n’apprennent
décidément rien du coup, pazuzu
revient toujours leur faire la même
j’vois la vie comme un putain d’rpg
si les n-z-s reviennent
commande via tor un putain d’rpg
faut que j’demande à thor
si mes supers multi-syllabiques pouvoirs
pourraient m’pourvoir
une place où chez les avengers siéger
l’univers un tor
t’en es la particule : génères
ta propre énergie quand n’articulent
que du caca ces dégénérés
ta technique me file la gerbe
mélange fantasmagorique à l’algèbre
manque de lecture, appétit pour l’apparât
ont vu ton vocabulaire appauvri
ta carrière tu ferais bien mieux d’abréger
tourne à la monster à la dope à l’alcool
à la clope mange du gluten j’fais pas de sport
et j’vais très bien
repars en teuf quand tu rappelles ton médecin
j’veux finir ma vie la tête entre ses seins
mais dois d’abord revenir d’égée
rahan cours après le soleil, m’éveille quand il se couche
me défracte à la kush quand tu rechanges de couche
j’ai déçu des proches fais pleurer mes parents
sans aucune anicroche fume un demi kilo par an
old school, mais pas fan de pauline ester
la face du game asperge de bouillant fondu polyester
couplets refrains morbides
trouve la zic de ces enfoirés plus chiante
qu’une putain de soirée d’étudiantes en plein covid
tu sniffe du lyophilisé de chez bledina
le parfum du taga dès le matin comme au bled inhale
avec mon café torride est l’instrumentale
elle me fait bander l’arc et tirer des traits
de caucasien n’ai qu’transylvaniennes canines
la pâleur des décomposés, compose une mélopée
m’inspirant d’vos cris de détresse
si j’eus été persée de méduse aurait tiré les tresses
génération 92 j’ai les dents niquées
y’a les superficiels
les superstitieux les spiritueux les spirituels
demandes toi donc où tu te situe
ils ne racontent que sottises
j’cherche la porte de sortie là où il n’y a pas d’issue
ils se prétendent conscients
je ne suis conscient que d’une chose
c’est que j’octroie toujours à ces accros la dose
de ma prose qui tue
ne traine qu’avec mes bras cassés
de ma vie petit ne copies rien, attends voir
thc taurine & caféine au quotidien
on attend l’soir, quand il vient
ça lève le coude tourne à la c
touche le 7ème ciel
quand avec la rime pratique le chem s-x
traverserai les 7 mers
juste pour cracher cette merde
vu qu’j’n’ai que cette merde
pour palier ce fake game
que j’plastique au sem-tex
pera des profondeurs ne vous ferai pas d’cadeaux
front baissé fonce tel un narval empaler ces narvalos
non désolé de demeurer prosaïque
injecte à ces demeurés ma prose d’aspic
nos présidents pactisent avec des partisans de la torture
insectopie n’est qu’un tas d’poubelle
vos philosophies m’laissent toutes
un putain de goût d’fiel
m’expatrie donc sur l’île de la tortue
avec une bombe iem
pour ne plus supporter vos vies de merde
débitées par chaque radio
j’avais la haine j’ai pris le mic
toujours la rage mais me vis mieux ;
la douleur a toujours été l’putain d’prix
l’eden est l’interdit, j’ai raté mon suicide
fis mine de rien mais me vit dieu
j’garde la rime secrette
rappe la vie d’un squelette
tu veux niquer ma musique ?
retourne à bolbec retourner ta soeurette
ta 0.9 c’est d’la sucrette
on ne décolle qu’entre corbeaux
si c’est la nouvelle école, arrache hors
de leur orbite, ma part d’yeux, j’veux d’l’or, bitte
mon cerveau becte. mon rap un roman noir, continue
d’envoyer les cons volant en mes plumes
tourner loin sur orbite
c’est pas mulholland drive
cest mulot land : drive-by sa mère
ai rap au fusil laser de grammaire muni
comme ducky marche au milieu des spectres,.
tous sous l’ombre de l’empire
ne laisse pas le monstre grandir
car j’apprends même de qui j’exècre

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