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letra de 93 - menni jab

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introduction :

j’voulais parler de souvenirs, autour d’un verre de brandy
des refs qu’on brandit depuis qu’on joue aux bandits, ouais qu’est-ce que t’en dis ? j’évite d’rester figé devant les années défilant
a 27 piges j’ai pigé: obligé de faire le bilan

pour les regrets laisse bé-tom, que des p-tains de battants
j’avais des potes en béton, ouep’ on a passé du bon temps
j’espère que t’as capté, car là j’ai fini ma prez’
ce son c’est pour tous lеs gamins de l’année 93 !

premiеr couplet – menni jab :

les nokia 3310, les total 90
jamel numérobis, zizou numéro 10 !
vincent lagaffe au big dil, les aasics jaune de k!ll bill
l’ocarina de zelda, tombe la chemise comme zebda !

les yeux dans les bleus, 98 c’était dément
on s’dit qu’on était là, même si on s’souvient pas vraiment
artisan du showbizz, je claque la bise à mes mécènes
encore les mêmes scènes qu’on secoue, j’suis comme un wizz’ sur msn

les aprems sur la gamecube à jouer à nightfire
xl baggy wheelys on n’avait pas d’tailleur
mais qui étaient les meilleurs entre iam et sniper ?
dans l’fond on s’en ballec’ on voulait être rappeurs
j’avais un style inclassable, des portables incassables
du blanco sur les cartables, pour une classe ineffaçable
bien sûr qu’on rêvait de percer, rap à fond dans le ipod
car on s’est senti bercé par les débuts du hip hop !

refrain :

93 93 …. – pas de doute tu nous reconnais !
93 93 …. – c’est le cru d’une putain d’année !
93 93 …. – un neuf neuf trois !
génération hip hop sur l’anti-pop ça fait des dégâts
93 93 …. – pas de doute tu nous reconnais !
93 93 …. – c’est le cru d’une putain d’année !
93 93 …. – un neuf neuf trois !
le style depuis toujours et dans 30 ans on sera encore là

deuxième couplet – pi-well :

oué je me rappelle à l’époque: prendre le fixe appeler les potes
y avait une sonnerie sur les portes y avait de portable dans les poches
fallait que je toque chez leurs darons, c’était pas toujours marrant
j’pense à ceux qui m’accueillaient comme si c’était mes propres parents

on a connu les disquettes, ppda sur l’écran
je crois qu’c’est nous les derniers jeunes qui avons connu les francs
connu la france de zizou, de chirac, de goldman
pas besoin de muscu’ on s’trimballait des walkman !
les mots dans le carnet, les heures de colles, l’exclusion
dans la cour on s’entraînait à faire la danse de fusion
on rêvait d’être sangoku, d’avoir de gros pecs énormes
j’avoue je connais dans l’ordre tous les premiers pokemons

on fausse les normes des anciens, des magazines à emule
tu voulais fast and furious et t’as une fille qui simule
je dédicace aux nostalgiques des cabines téléphoniques
aux visionnaires qui avait tout misé sur la tektonik !

refrain

troisième couplet – menni jab :

les années passent on évolue mais on a gardé nos réflexes
aujourd’hui: je joue à fifa avec les commandes pes
on a nos propres codes, on a nos propres manies
dire que c’était la mode les tatoos décalcomanie !

a 27 piges t’en fais des tonnes ‘moment où t’ouvres les yeux
les vieux trouvent qu’on est jeunes, les jeunes trouvent qu’on est vieux
et t’façons, tonton, on croise la rime par passion
c’est menni pi-well en action pour toute une génération !

refrain

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