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letra de haaland - mécra

[paroles de “haaland”]

[intro]
dimeh
mecra

[couplet 1]
appelle-moi pour prendre des nouvelles, pas pour un service
t’as un calibre, c’est bien, t’as peur quand faut s’en servir
ouais, y a combien d’mères qui passent de sales nuits ?
des frères qui purgent, d’autres fournissent la pure le samedi en soirée
c’est la même de lyon à saint-denis
si ta rolex est belle, chez nous cache biеn ton poignet
cache bien ta poupéе, cache bien ton pécule
parce que même ton ami peut doucement t’la mettre dans ton cul
tu peux tout payer sauf ton vécu
tu sors des loc’ le week-end mais la semaine t’as pas d’véhicule
avec ta sale vieille gueule, si tu poses pas d’bouteilles, tu rentreras seul, vieille pute (tout seul)
nos ruelles sont charmantes, nos bâtiments sont remplis d’talents
peut-être que j’partirais tout à l’heure et dans la tombe c’est pas comme dehors, ça sert pas d’avoir le bras long
[pré-refrain]
si j’me compare à un footeux, dans la musique j’suis l’nouveau haaland (j’suis l’nouveau haaland)
te-shi hollandais (gang), si t’es un guerrier, je suis highlander
la douane volante (ah ouais) détache des familles, laisse des mères en pleurs (détache des familles, laisse des mères en pleurs, détache des familles, laisse des mères en pleurs)

[refrain]
aujourd’hui t’es là, demain tu meurs, après-demain on t’oublie (on t’oublie vite)
et quand y a des balles qui pleuvent, tu laisses faire la police (gang, gang)
c’est sombre, sombre, sombre, c’qui s’passe dans nos ruelles (dans nos ruelles)
mélancolique, ça s’entend au son, son, dans la soucoupe, j’fais tourner du bruel

[couplet 2]
des envies sombres donc j’fais un son
première séance de stud’, j’ai choqué l’ingé’ son (hechek)
haram la musique, quand j’sors un son, j’commets un pêché sur le net
une occasion, c’est comme au foot’, t’as pas l’choix, faut la mettre (ah ouais)
ouais, premier du class-m-nt haut la main, j’en connais qui bossent hlel, et d’autres au tp à la guette
plus allées, j’ai pas trop fréquenté la gare (ah, ah)
plus la calle, j’ai pas l’humour d’vincent lagaf (ouais, ouais)
et on mettra des baffes ou des balles à tous ceux qui vont m’barrer la route
chez nous, on croit que au bon dieu, on n’espère pas qu’elle tournera, la roue (bats les couilles)
chez nous c’est : violent, braquage, violence, les grands sont dans ça (les grands sont dans ça)
givors, 6.9.7.0.0, c’est connu dans ça

[pré-refrain]
si j’me compare à un footeux, dans la musique j’suis l’nouveau haaland (j’suis l’nouveau haaland)
te-shi hollandais (gang), si t’es un guerrier, je suis highlander
la douane volante (ah ouais) détache des familles, laisse des mères en pleurs (détache des familles, laisse des mères en pleurs, détache des familles, laisse des mères en pleurs)
[refrain]
aujourd’hui t’es là, demain tu meurs, après-demain on t’oublie (on t’oublie vite)
et quand y a des balles qui pleuvent, tu laisses faire la police (gang, gang)
c’est sombre, sombre, sombre, c’qui s’passe dans nos ruelles (dans nos ruelles)
mélancolique, ça s’entend au son, son, dans la soucoupe, j’fais tourner du bruel
aujourd’hui t’es là, demain tu meurs, après-demain on t’oublie
et quand y a des balles qui pleuvent, tu laisses faire la police (tu laisse faire la police)
c’est sombre, sombre, sombre, c’qui s’passe dans nos ruelles (dans nos ruelles)
mélancolique, ça s’entend au son, son, dans la soucoupe, j’fais tourner du bruel

[outro]
mecra, mecra

- mecra

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