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letra de aston - max (fra)

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[paroles de “aston”]

[intro : tag]
d-mn, reach

[couplet 1]
j’les vois s’inquiéter, c’est des barres, zéro piété, j’veux des barres
juste pour prendre une aston au daron mais c’est pas pour ça qu’j’rentre tard
tout c’qui est carré ne tourne pas rond, uh-uh
très gros moteur, je démarre, c’est moi l’auteur, j’écris : “24”
j’traîne qu’en équipe, j’ai toujours la même
on s’est rencontré près du goulag, les autres relations ont des goûts amers
j’ai commencé l’rap, c’était pourave mais plus j’écris, plus ma plume s’aiguise
j’sais les décrire, j’sais qu’je maîtrisе, je n’veux pas les détruirе, je sais qu’ils s’épuisent
à l’ancienne, on jouait sans ballon, coup d’pied arrêté sans bras long
peu d’cohérence avec l’apparence pire
les mots sortent en balle de mon canon, je n’fais qu’augmenter la cadence de tir
pourtant, souvent j’suis die, j’tire sur un truc, je soupire ma haine
j’le fais que si j’ai mal, j’écris juste pour assouvir ma peine
[pré-refrain]
j’les vois s’inquiéter, c’est des barres, zéro piété, j’veux des barres
juste pour prendre une aston au daron mais c’est pas pour ça qu’j’rentre tard
tout c’qui est carré ne tourne pas rond, uh-uh, très gros moteur, je démarre
dans les hauteurs près des incas, eh-eh, c’est moi l’auteur, j’écris : “24”

[refrain]
ils pensaient m’avoir mais j’ai gagné, les mots vont plus loin que les balles
mes écrits ont la dalle mais j’avais jamais pensé les partager
j’pensais pas nous voir nous séparer, j’suis parti loin sans m’faire la malle
je sais comme ils ont mal mais jamais j’aurai penser les réparer
quand j’y repense, j’ai l’mort, j’écris des seize qui tuent, j’suis sans certitude
c’est comme si j’avais tort, bonheur dans l’réticule, aigris comme bitume
envoie l’armée, on est paré, s-xion d’assaut, j’ai ma fa-le
j’pose le chargeur sur la table, sans jamais m’arrêter d’les rafaler

[couplet 2]
le son vient remplir mes failles, locomotive est de taille
j’peux plus m’arrêter, j’avance comme sur des rails, si j’veux, j’arrête de partager mes phases
j’ai archi mal, lyricalement j’les écrase, marginal, sans trouver ma case
quatre heures du mat’ à la casa, passionné mais l’nerf de la guerre, c’est le plata
seul contre tous et sans brassard, ils sont plus cramé qu’un napalm
numéro nueve en attaque et même si jamais ils me rattrapent
j’écris dans la profondeur, tacle assassin, trop d’honneur
j’sens qu’mon corps a trop donné, la main sur le cœur, teh coloré, mets deux grammes quatre
[pré-refrain]
j’les vois s’inquiéter, c’est des barres, zéro piété, j’veux des barres
juste pour prendre une aston au daron mais c’est pas pour ça qu’j’rentre tard
tout c’qui est carré ne tourne pas rond, uh-uh
très gros moteur, je démarre, c’est moi l’auteur, j’écris : “24”

[refrain]
ils pensaient m’avoir mais j’ai gagné, les mots vont plus loin que les balles
mes écrits ont la dalle mais j’avais jamais pensé les partager
j’pensais pas nous voir nous séparer, j’suis parti loin sans m’faire la malle
je sais comme ils ont mal mais jamais j’aurai penser les réparer
quand j’y repense, j’ai l’mort, j’écris des seize qui tuent, j’suis sans certitude
c’est comme si j’avais tort, bonheur dans l’réticule, aigris comme bitume
envoie l’armée, on est paré, s-xion d’assaut, j’ai ma fa-le
j’pose le chargeur sur la table, sans jamais m’arrêter d’les rafaler
ils pensaient m’avoir mais j’ai gagné, les mots vont plus loin que les balles
mes écrits ont la dalle mais j’avais jamais pensé les partager
j’pensais pas nous voir nous séparer, j’suis parti loin sans m’faire la malle
je sais comme ils ont mal mais jamais j’aurai penser les réparer
quand j’y repense, j’ai l’mort, j’écris des seize qui tuent, j’suis sans certitude
c’est comme si j’avais tort, bonheur dans l’réticule, aigris comme bitume
envoie l’armée, on est paré, s-xion d’assaut, j’ai ma fa-le
j’pose le chargeur sur la table, sans jamais m’arrêter d’les rafaler

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