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letra de pleine lune - luvang

j’ai pas le temps de le voir passer
laissez moi vivre laissez moi mourir sans croire le passé
lassés les gens te contredise mais qui se vois s’égarer
seul moi pourra te dire les choses en face
le mensonge a soi-même c’est comme faire volte-face
trop dur de se convaincre parfois le bon te froisse
pas mal de prière se son pеrdues dans ton cœur tout froid

alors si j’ai quitté tout cela c’est quе cela ne me plaisais pas
laissez le roi se faire les dents, sur le seuil d’une vie trépidante
met toi a genoux, incline toi, et patiente
face a une rigueur fougueuse que certains on pus fuir
et le néant tire, à l’anéantir
le stade de bercy seras peut être mon utopie
pour découvrir tout mes démons faudra plus qu’une autopsie…

oh, oh, oh
j’ai fait du mal a mon être
oh, oh ,oh
pardonne moi de mon mal être
si j’étais un écrivain j’écrirait sur les plus belles chose
s’arracher au néant de l’osmose , je voudrait vivre en symbiose
si la vie m’avais offert quelques millions je donnerais un foyer a des enfants
mais moi je ne suis que moi et j’essaie de me convaincre que j’ai raison d’aller tout droit

que dans mes textes je puisse faire tout cela
parfois je regarde la lune, et elle me parle du haut de sa lumière
je ne fais pas d’ombre, pourtant je guide les yeux des plus faibles
rejoint ta raison d’être, et paye toutes tes dettes en rendant fier
un jour tu regretteras tout ce que tu loupes mais tu pourriras en être fier
et un jour peut-être, tu pourras en être fier
alors cours, rattrape toi, joue de tout tes dons
donne, une famille a ceux qui le demanderons
le café a couler dans le silence, et je reste enclin de debout depuis mon enfance
depuis la barrière je regarde le vide, je fais signe a la mort dans une offense
je me suis jamais sentis aussi vivant depuis que j’ai danser avec la mort
j’ai jeter le vide, j’ai contourner mes vices
maintenant je sais sourire a toutes mes peines
et la pleine lune, me calme, dans le silence des confusions
et je peux dire que j’aime, le bruit sourd des effusions de son…

si je fais ca, c’est pour voler la raison d’être heureux
que mon cœur soit combler, d’un buisson de fierté
que personne ne puisse me demander est-ce que tu penses avoir bien fait ?
je brule mes heures et attend de finir mon couplet
la seule chose qui compte c’est de pouvoir te faire rêver

(oh, oh, oh)
si j’étais un écrivain j’écrirait sur les plus belles chose
s’arracher au néant de l’osmose , je voudrait vivre en symbiose
si la vie m’avais offert quelques millions je donnerais un foyer a des enfants
mais moi je ne suis que moi et j’essaie de me convaincre que j’ai raison d’aller tout droit

℗ luvang

- luvang

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