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letra de bullshit of sheeps - lothkon

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que lôthkon croise straanj et l’on cause direct orange bud, coups de sub, lyrics qu’ont le seum : d’une collab qu’est pas faite pour les clubs. quelques essais, p’têtre des effets, et c’est fait….c’est bouclé. l’un tâte de la boucle, l’autre tchatche de la bouche. on te file ça, c’est pas sous clés. sortez les mouflets, ôtez les moufles et boutez les boss, et faites les morfler. je mords les moutons sur un son maléfique, il tord des boutons sur un ton qu’a les tripes qui lui sortent par les trous de nez, à toujours trouver de quoi se calmer. mais j’ferai en sorte de prôner que c’qui pue n’est pas où pujadas le met. ya tellement de keufs dans les rues, que les esp-ces libres n’existent plus. nos vies, des cavales continues, mais les pavés on ne les balance plus. on ne le bat plus, non plus, que pour aller bosser et consommer. vu qu’on nous somme de rester, les yeux fermés, -ssommés. a sonner l’alarme tout le temps, d’un rien faire du boucan. on scénarise les larmes, et l’art de la remise en cause de tous camps. a tout bout de champ de caméras un énarque calmera les foudres en un éclair, car il clamera qu’il t’aidera. ces têtes gr-sses, mettent main b-sse, sur la messe de la m-sse. am-ssent les voies d’électeurs et voient grimper l’audimat. au dîner, mate la tv qu’invite l’individu à se diviser. initie les différences, pour regarder l’autre dans la visée
mec c’est pas de la france qui se lève tôt, mais plutôt de celle qui se lève contre l’étau qui se resserre, tel des serres de vautour. regarde autour, car d’en haut les rapaces remplacent ton avenir par une bastos dans le dos. quand monsanto plante, trop des champs de monstroplantes et que nos santés planent sur les choix des gros clans ; quand une forêt est mise à sac, qu’on fait d’un arbre des billes en sacs ; quand on tue l’agriculture pour un futur rutilant stade. a notre dame des landes, ol land ou dans le morvan, les drôles de dames frappent fort, et au 20heures la mort vend. notre drame met les glandes, mais force à rester mordants. la mort dans l’âme tout s’ébranle, et même les poulets montrent les dents
même quand les bombes tonnent à boston, pour 3 morts, le boss grogne à la peur du mois de septembre, encore une fois le gong sonne. mais quand les toits tombent au bangladesh, et là, sèchent milles personnes ; personne ne s’émeut plus de l’aprem, mais ce week-end..achète !!! mec ça fait trop longtemps, que l’on tend à céder à la tentation. c’est latent, on attend sans même se poser de questions sur le temps où l’éclatement de la terre aura ses raisons. c’est navrant, exactement, on est responsable mais on reste stable en regardant la disparition des saisons. comme si à table, en se goinfrant on laissait s’écrouler la maison. j’pète un câble en voyant qu’on est peu à avoir cette impression car dans l’sable, bien souvent on y fourre la tête bien profond. mise hors de cause, bleus ou roses, les loup rodent dans le faste des restos. n’arrêtent pas le désastre, dévastent tout, nous on bouffe les restes? oh! tout à fait, tout est fait, pour que tout sature sur les compteurs. tous accélèrent, pour l’heure d’axer l’ère de leur accession en leurre. on s’est laisser baiser, par le billet, comme l’alternative à la nature. qu’est ce t’attends, qu’il t’encule, pour bousculer sa dictature ? dès lors que l’or est l’organe vital, les vies valent plus -ssez pour plaire. flaire l’odeur, de la mort gagne les villes ; vite ! virons de bord!! elle nous pompe l’air

letras aleatórias

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