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letra de le ver solitaire - les gourmets

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fayce le virus :
depuis c’t’hiver me complaît dans la merde la ferme!, j’suis trop sectaire / on a tous un avis comme un r-ct-m / ne l’donne que les commères / connard! / j’ infiltre ton cartel mais j’trouve pas d’pablo escobar / la mort fatale qui t’prend sur l’ trône tu hurles trop tard / tes pinco restent au bar / rouilleur, cruel , looser de base de ruelles / si t’as mal au cul, fallait nettoyer tes zones de crasse spirituelles / unе pilule, une quenеlle, mon son dans l’-n-l tunnel / cellule pleine de croissance lente mais viral à l’extrême / m’extraire, j’te l’conseille mais ce sera pas agréable / dis moi minable, qui de nous deux est proche du stade biodégradable / j’mange à ta table / attiré par l’odeur et à la vue d’tes bourrelets / pour les aspirés d’l’intérieur c’est viral – gourmets / j’reste loin et proche / solitaire et sévère / sans bouygues ni sfr / cynique aussi rêveur car solitaire est le ver

liqid :
evitant sciemment toute tentative de clarifications / écartant toute hésitation au profit de mon art de versification / face à mon cerveau en ébullition / je sens mes neurones en mutation agir sur mon champ lexical / mes textes, ma putain d’plantation / donc j’reste en marge / observant tous ceux qui agissent sans passion / et quand ma voix téléporte le texte / les mots se transforment en réelle incantation / j’me place bien loin du troupeau / regardant les moutons s’attrouper / vu qu’ici la masse s’accroupit comme l’ été toutes les groupies à st tropez / mon encre se liquéfie, prend forme face à la pression des petits défis / et là tu te demandes mais qui s’défile / ce qui hante nos cerveaux, c’est le bruit des villes / le but, que mon écriture provoque du rugiss-m-nt au gémiss-m-nt / le stylo en guise de talisman / contre ton estomac entraîne les vomiss-m-nts / relation charnelle au papier, le stylo balance la s-m-nce / une éjac’ faciale intense, atroce pour ceux qu’nos vers jettent sur la potence / j’viole la solitude et la frustration en injectant du sens / donc avale ma jouissance textuelle et bouge la tête quand ça recommence..

krimen :
l’ éthylomètre est révélateur / j’y pense quand j’en ai la peur / tous les jours j’frise l’enfer, 40° le taux d’mon labeur / isolé, le crâne endommagé / foncedé comme par magie / moi j’aime pas partager ma femme c’est cette bouteille de bacardi / quelle maladie t’ emmène au paradis? (devine) / celle-ci m’empechera toujours d’avancer comme un panari / c’est pas marrant d’avoir peu d’amis, c’est mieux l’inverse / moi j’y gamberge tout seul, chabe comme le poison dans mon verre se verse / ma foi tout ça c’est regrettable / je blesse, agresse mon foie au vin de table / j’suis cette brebis galeuse au fond d’l’étable / à qui personne ne parle jamais de peur qu’ j’ leur bave dessus / j’ essaie bien d’ taper la convers’ / y’ en a un paquet qui repartent déçus / le décès de l’ espoir, même si le ver? en est la couleur / s’ faire vomir tous les jours connais tu seulement cette douleur / et pour l’ heure / quelques bières feront l’ affaire / j’ suis tout seul dans ma tête, une ‘teille et ma gueule font la paire..

morbac :
encore un regard de travers / je lui éclate ses dents de devant ainsi que ses molaires / je marche en titubant, je voudrais bien qu l’ on m’ accorde du temps / un couple en pleine conversation, mais puis- je m’ introduire dans votre discussion? / aucune réponse encore un vent, apparament / aux yeux de ces gens je n’ existe pas / je calme mes nerfs je noie mes sentiments dans cette canette de bière / je me console dans l’ alcool, car ma destinée le reste de ma vie est de finir solitaire / je n’ ai qu’ un seul ami c’ est cette bouteille / je sais qu’ elle me restera solidaire / ma seule inspiration elle crée mon talent / malheureus-m-nt mon crâne et mes gestes ne sont plus en synchronisation / je n’ arrive plus à m’exprimer sur papier à cause de ce poison / ma feuille est vide il n’ y a qu’ un vers et dans mon corps c’ est un calvaire / ce ver avare dévore mes vivres / devant ce miroir, je mate un visage ivre se decomposer / ma vie ne tient qu’à un fil autant la finir avec un verre de rosé

letras aleatórias

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