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letra de tékélaleplé - l'armoricain

j’ai pas attendu le retour du bon rap pour m’y plonger frère
et si j’perce et verse des vers, c’est pas ché-per, est-ce -ssez clair ?
tout ce joue sur la caisse clair, j’ai les rimes sous les joues
faut que ça groove en un éclair, à la watchiganedou
wa-watchiganedou dans le poste dès l’aube
j’me crois à l.a., le son brille, les mots flottent près du lobe
(près du lobe), loin du globe lorsque je ferme les yeux
il est 11h00 faut que je sorte du pieux …
tout est dans l’att-tude et quand il s’agit de glander
tout est dans l’habitude, on s’en tiens toujours au plan b
un bol de chocolat en écoutant des og’s
flamber, parlé d’plomber l’plombier de leur b-tchies
démarre le caddy-lac rapport au infiltration d’eau
aborbe la ville, vitre ouverte, sur un son de dre dans la sono
la foule va dans toute les directions pendant je rode
devant le rode, j’aime l’ambience même si je comprends rien comme…

(refrain) “tékélaleplé eeeh!”

et quand j’te vois sourire, c’est pour moi une question d’plus
au fil des années, l’amourette honnête est devenue une question de cul
et pour c’est chose là, j’ai pas d’recul, au fil des femmes rencontrées
on me livre d’office le fascicule seulement en language de venus
donc est-ce un rictus qui me tends vers le ridicule si je t’aborde ?
jouons au “chiche d’abord” si tu le souhaite et cela sans liche à bord
si tu a tes signes, j’ai les miens, ainsi que mes singeries qui me rendent dingue
j’ai le regard au loin pas les flingues
elles s’empressent d’aller près des bad boy
qui pressent la détente seulement dans les games de cow boy
c’est le cirque en pleine air, toutes maquillées comme des clowns
pense qu’à niquer coup sur coup, des canards blindés de tune comme picsou
pour ma part, j’préfère une sissi sans sous à une suseuse à soucis
et vu les mecs en chiens j’constate que plus aucun d’eux ne s’en souci
et le souci subsiste même chez les belles déesses
malgrès l’osmose au sommet je ne te comprend pas comme…

(refrain)

j’vois les puristes, cette putain d’famille luthor
la 1ère saison te soutiennent, sur grand écran veulent te percer le corp
bercés par les décors américains, j’déplore
que sans comprendre leur langue, j’sois l’un des seuls à distinguer le mauvais sort
“j’fais des morts, j’fais des morts”, non wack fais des démos d’abord
commence par bosser le flow, fiction ou vie, met toi d’accord
jeunesse sans fondements, normal que les sommets s’écroulent
écrouée pour des broutilles, parlent de rouer de coup la police
bref, s’prennent pour des poulies (poolies) en roue libre, mais si la corde tourne
autour de leurs cous, la morgue fera d’eux leur colis-
brille dans la vertu, plane loin du vice, près des verdures
fuis la ville, le brouahaha créer une langue encore inconnue
et quand la nuit tombe, j’oublie tout, roupille pour
penser à l’avenir, dans les songes mes propres mots me paraissent flous
dans l’poste, un son de nas me déphase sur la courbe esp-ce temps
j’comprends rien mais j’voyage vers les states un peu comme …

(refrain)

- larmoricain

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