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letra de raw - lalcko

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yeah my n-ggaz !

entouré de mecs qui écoutent bob marley
qui vendent ce que fume ziggy
je mets de la viande sur la sauce
il n’y a que comme ça que j’imite biggy
je ne suis pas de ces gens hein !
nous on parle encore avec l’accent
je viens de là où c’est les vieilles
qui arrachent les sacs
c’est la police qui braque
où il faut payer pour avoir son argent
on a connu le goût du lait
des corn flakes que récemment
le passé camouflé par de fausses dents
j’ai encore les traces
des matraques sur les jambes
destination rap légende
j’aime les montres suisses
faconnable sweat
des flocons d’neige qui s’endorment
sur les malboro classiques sh-t
super 100 stan smith
les bonnets en rondelle adebisi
l’esprit dans les billets
les billets dans l’esprit
je suis de sortie
les yeux s’ouvrent comme les ailes d’un faucon
jusqu’à ce que tombe les flocons de tunes
nous flottons dans le flow du volcan
illegal flow coke
renvoie les cochons dans les cuisines de fauchon
depuis blow nous bossons avec humilité
car condanmés à boire la même eau
que ce que nous rejetons
entouré de mecs qui écoutent fela ransome
et qui vendent ce que fume biggy
toujours vivant
je pense qu’on est béni
refrain
lalcko c’est raw
du super 100 au blue jean
lalcko c’est rof
depuis le début t’imagines
f-ck da sh-t
maintenant que mes fafs sont cleans
je viens dominer la france
run da sh-t t’imagines (-2)

ils nous tcha pour des caniches
j’awash all leur caco
maintenant que j’ai tcha mes kaolo
je peux vanish easy
je ne suis pas de la cana que tu peux exé
perica
je suis la cana qui tatik
je suis de tcham comme ça nous djam
on te nak comme le medzan
quand j’étais mbindi
on know (ait) seulement que dès qu’on nous niait
on doit seulement call les niai petits frères
on a jon la satan bière
le black le 21
on ya (ait) mo guio les paplés
les jean sans peur
ya que hein !
le rap comme moi c’est comme etoa-méki sans hagler
mais on know (ait) toujours qu’il faut put les do de la garam
dans le candé
et si tu guio les do du takesh
on te lep waka de melen à mfandena
tara je ne know(ais) pas qu’après que banem soit die
il y’aurait encore le ndjoka au carref
où sont les salélé et bodélé, les dri-guez
je ne meet que les borguess
tendres comme le mbourou des mougou
mais je n’entends pas ça !
elle falla la route
elle sanya une fois l’indien en même temps
tu crois qu’elles ont les sentiments?
fini le temps où je tapais le ndamba
avec les nanga
fian le on tchopait le nfiang ndo’o les zikeus chez les mbarga
aujourdh’hui je piole chez les whites
mais en solo
laisse tu n’as pas le hala
j’ai le bahat de l’animal
je tcha mon argent et je ndzan
pip pip peuple
est-ce que yaoundé m’entend
je veux que mes potos
mes vrais gars m’écoutent attentivement
comme si j’allais leur révéler
qui les a balancé chez coca
je veux qu’ils aient les nerfs d’abraham
nus pieds sur une ruche à leur fournaise
rien n’est sûr
un assaillant te dépèce
et ta tête roule dans le jardin comme louis 16
il fait chaud et l’adrénaline défonce comme une 16
mon peuple n’a plus la peur de voir venir les anges
il vit dans l’oubli
dans la peur de ne pas voir venir les anges
j’aurais voulu amener la paix encore de chaire
et pas de la peine encore
avant qu’on ne me dédicace depuis l’angle mort d’un long portée
et que je ne smurf comme après un 9 et du smirnoff
concu pour agir rof de la tête aux phalanges
si les ambulances succèdent au silence
ne t’inquiète pas mon négro
c’est que je devais rimer nos vies
depuis la bouche d’un berretta mon négro
lalcko c’est raw !

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