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letra de quand j'étais petit - koba lad

[intro]
oye tommy, dame el fuego papi

[couplet 1]
et en primaire on te niquait ta mère si tu perds la balle au lieu de faire la p-sse
tout était beau, tout était rose
c’était tout pour le football à la base
mais bon j’ai du vite faire un choix sois traîner dans l’bat ou dans les longues études
j’pensais faire de l’argent plus vite dans le bat’
j’me suis fait perquis’ par la brigade des stups
trois heure quarante trois fonce-dé dans l’parking
ça parle de tonnes, parle de kil’s
de la journée du point de deal
j’espère qu’il a pas fait de trou le p’t-t
re-taille-dé, recompter, investis, mets de côté
tokarev, quoi qu’il arrive j’laisserai pas tomber

[pré-refrain]
c’est plus comme quand j’étais pet-t
le foot en salle, les heures de colle
c’est à mes risques et périls
et si j’me rate, des années d’taule
j’en ai vue d’puis qu’j’ai grandi
des grandes balances, des mecs qui se rangent
et quand je suis fonce-dé côté p-ssager, c’est à son tard-pé que j’pense

[refrain]
et c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
j’ai mille euros pour acheter des vêtements
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
tout l’placard est rempli de gâteauxx, oh-ooo
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)

[couplet 2]
avec tous les showcase que j’fais je subviens à chaque besoin d’ma mère
j’ai disque d’or, j’ai single d’or qui pends dans l’salon à ma mère
et deuspi’ on la fait, ouais dopé on la fait
un sac gucci, un lit gucci dans la chambre à ma mère
et le lundi j’kick toute la journée, le lendemain interview
mercredi, j’dois acheter des sapes et vers minuit j’suis au studio
jeudi chez moi j’me repose
puis le reste de la s’maine showcase
c’est pas que j’veux pas, bébé, mais l’argent m’appelle

[pré-refrain]
c’est plus comme quand j’étais p’t-t
le foot en salle, les heures de colle
devant un joint, resserre un verre
et ak, remets la prod
une prod, un seize, un refrain
trente millions d’humains ravis
les plus anciens sont choqués d’me retrouver dans leur navire

[refrain]
et c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
j’ai mille euros pour acheter des vêtements
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
tout l’placard est rempli de gâteaux, oh-ooo
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan (nan)

[outro]
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan
c’est plus comme quand j’étais pet-t, nan

- koba lad

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