letra de rsa - jupitergrandetachero
[refrain]
encore quelques années avant le rsa
j’arrêterai de chasser les thunes quand j’serai stable
la fac paie le stud mes médocs c’est l’état
j’recherche la paix après l’extase
donc si tu vends
supprime mon num
c’est écrit dans mon ventre gros
plus jamais je fume
t’es porté par le vent alors
ferme la comme les dunes
j’étais marteau dans le temps
je dormais comme une enclume
[couplet]
mes rêves reviennent je rêve de cadavres de riches en salade
mais je mange que du gras au repas après j’emmène nos corps de bolides en balade
allemagne pour le tabac caché dans le colis sous l’emballage
des fois je pense qu’au passé sauf quand je rentre dans ses bras ou dans sa chatte
me dis pas que ça s’achète ce qu’on a tu te mens je te ferai pas de charades
je cherchais juste un plan cul j’ai trouvé une âme sœur à la place
l’amour sans ça ma vie c’était rien que de l’errance
je sais que t’as pas eu d’enfance
moi j’ai pas eu d’adolescence
ou juste pas celle qu’ils vendent à la télé
j’ai demandé à la lune tellement fort qu’il a grêlé
dès l’aube
dans mon délire à la fêlé déso
j’ai cru l’alcool quand t’en bois des litres c’est de l’eau
à déli délo
je reviens pas de l’enfer, je reviens de l’hôpital
j’ai traversé cette merde pour le mieux au final
revenir en sang de l’école c’était bof optimal
grandir avec des dettes je connais toutes les faufilades
je vais prendre cette ville tous tes potes faut qu’ils se taillent
gros je cisaille
pas de copinage
pour me faire rechuter faut comme mille failles
je vais te découper en beaucoup de morceaux exactement comme livaï
t’es pas mon rival
je ramasse tes restes et puis je ripaille
t’es un tape cul je suis le mont sinaï
ça t’ira bien un peu de misère y’a que la maille qui m’aille
ça t’iras bien un peu de misère ouais
[refrain]
encore quelques années avant le rsa
j’arrêterai de chasser les thunes quand j’serai stable
la fac paie le stud mes médocs c’est l’état
j’recherche la paix après l’extase
donc si tu vends
supprime mon num
c’est écrit dans mon ventre gros
plus jamais je fume
t’es porté par le vent alors
ferme la comme les dunes
j’étais marteau dans le temps
je dormais comme une enclume
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