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letra de brisé - joackim

[intro] x2
écrire des sons en pensant que ça m’apaise
ange ou démon, le cul entre deux chaises
et je prend ma part en espérant la fève
dans ce monde dingue il y a plus grand chose qui m’freine

[couplet]
le silence ne peux pas cacher ma douleur
j’ai cru avoir de la chance mais j’en ai perdu les couleurs
donner sans recevoir pendant des heurеs
si j’aurai su j’aurais sûrement tout arrêter avant quе tout ça tourne au désastre
elle prend mon cœur et le détruit comme si c’était un château de carte
elle m’a noyé dans le mensonge, j’ai été poussé du ponton comme si je n’étais qu’un pantin
et tout tes cons de potos, ils peuvent aller s’faire péter comme si c’était des putains
est-ce que t’oserai encore ?
est-ce que t’oserai encore me regarder dans le fond des yeux
comme si tout ça n’était qu’un jeu ?
arrête ton baratin, tu critiquais mais t’es pas mieux
chaque fois que je repense à nous j’ai les larmes qui montent aux yeux
et j’ai les nerfs qui font de leurs mieux
pour m’éviter de sombrer un peu
j’aurai pu prendre des balles mais c’était toi qu’avait le flingue
et si jamais je l’aurai voulu j’aurai pas pu penser cette fin
ça veux dire que dans ma descente t’aurai pu me couper les freins, (salope)
c’est ça l’amour, c’est de ça qui parle quand ils disent que ça fais du bien ?
que du venin, elle est venu, elle m’a transformé en venom
tenu mes mains, et j’ai rien vu, alors qu’elle parlait à d’autres hommes
c’est sans rancune, ce soir je fume sinon je me tue
car là je peux plus
dupé par l’amour, mais j’étais guidé la mort
elle a repris le cœur en cémor, pour le briser encore plus fort
donc là c’est non, donc là c’est mort
donc là c’est non, donc là c’est mort
et dans le chemin qu’est censé nous rendre plus fort
c’est ça qui nous brises
laisse nos têtes en délbor
nous approche près du bord
à chaque fois que tu t’en sors
c’est le retour de l’ascenseur
qui t’abîme la santé
j’ai frappé dans les murs pour laisser parler la colère
j’ai failli r’toucher la pure c’est elle qui me racoler
ouais ça deviens tellement dur c’est les morceaux j’dois recoller
et je dois reconnaître ça me tourne autour comme une comète
ce que j’étais capable de commettre tu trouverais pas dans le commerce
encore moins dans l’veaucer d’ton mec
[outro]
je t’aimais, mais tu m’as fais du mal comme inconnu
tes belles paroles résonnerons vide comme dans tunnel
découpe mon cœur à l’opinel
inopiné, c’était le final

- joackim

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