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letra de cash - jnr slice

[paroles de “cash”]

[intro]
rabz on the track

[couplet 1]
chaque jour au block, mon ex me dit que j’ai embelli
j’veux pas finir comme r kelly, j’veux pas finir comme r kelly
venir ici, t’as du culot, tu vas partir sans ta culotte
ients-cli de beuh, des shlags d’héro’, peu importe, donne ton numéro
j’viens sans cagoule, j’suis comme mesrine, dans bijouterie, je crosse ta joue
tu ne m’aimes pas mais tu m’ajoutes, tu voudrais savoir c’qu’on mijote
dans tes sons, tu parles de kilos mais t’es qui toi ? vas-y, barre-toi, vas-y, casse-toi
c’est la rue, gros, fais pas zehma, moi j’suis comme ça
j’ai jamais changé pour du blé (du blé), j’ai jamais changé pour un boule
le bosseur m’appelle quand c’est bon et moi, je le rappelle pour dire qu’il remballe
la misère c’est mort, sur ma mère, j’ai des reufrés qui sont pas sortis d’affaires (affaires)
on fait tout ça pour les pes’ (pes’), faut que j’mets maman à l’aise (l’aise)

[refrain]
j’veux pas finir les poches à sec, j’veux pas finir les poches à sec
chaque jour, je pense à ma ce-pu et je me dis qu’un jour, faudrait que j’arrête
mais les clients ne s’arrêtent plus, tous les quinze minutes, je reçois des appels
peut-être que ma meuf est fidèle, les clients sont pas infidèles
j’veux pas finir les poches à sec, j’veux pas finir les poches à sec
chaque jour, je pense à ma ce-pu et je me dis qu’un jour, faudrait que j’arrête
mais les clients ne s’arrêtent plus, tous les quinze minutes, je reçois des appels
peut-être que ma meuf est fidèle, les clients sont pas infidèles

[couplet 2]
j’en ai pris un tas sur ma route mais y a que mes frères qui sont restés debout (qui sont restés debout)
le terrain débite et j’ai 22 fois plus d’ennemis qu’au début (qu’au début)
moi, j’suis pas renié du binks, moi, j’suis pas renié du binks
à mon avenir, tu sais, j’y pense, j’veux pas finir comme les anciens dans la p-sse
depuis tit-pe, j’suis démarqué mais y a aucun fils de qui m’a fait la passe (she)
des ques-tru bizarres et j’en passe, c’est sûr que j’t’ai coupé comme les yeux se plissent (se plissent)
on s’étonne plus, on a vu pire, tu peux perdre les mots juste en perdant un proche (oh, ouais)
encore éméché, j’lui propose un plan pour se remplir les poches (oh, ouais)
va chercher taga, fusil et les gants c’est pour l’hygiène
les tits-pe vont plus en cours, ils ont leurs mains dans la cess
c’est triste, c’est mort, c’est blech, appelle tes grands frères si y a ‘blème (pe-pe-pe-pa)
appelle tes grands frères si y a ‘blème

- jnr slice

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