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letra de eris - jeune victor

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[paroles du morceau : eris]

[couplet unique]
j’ai vu pousser des grandes peines dans les fissures d’une symbiose
s’élever un regard au ciel quand le silence s’impose
le pardon en défense la lâcheté a pris ses aises
la trêve est enterrée car la calmer attise les braises
envolé dans la brise, je n’ai gardé que des empreintes
une fois à l’abri, je n’ai parlé qu’à dеs pantins
ils veulent tous comprendrе ce qui se trame à l’intérieur
ils ne voient pas le masque et je passe pour l’un des leurs
j’avance avec douleur main dans la main
et est-ce un vrai problème si au début j’attends la fin ?
si à la fin, j’ai l’impression d’être au début ?
nos attentes divergent normal si je l’ai trop déçu
la suite est dure, mais j’adore mimer de vivre
le manque et la passion m’ont donné une idée de livre
mon idéal pris dans le piège dont j’ai bâti les murs
on s’est quitté un soir j’aurais voulu que la matinée dure
mon avenir dort dans un mouchoir
on partage le bonheur comme la somme d’un pourboire
les principes de côté dès qu’il faut se faire plaisir
encore une soirée où j’ai perdu tous mes désirs
je me balade encore la solitude comme présence
je cherche l’altitude, la seule issue une descente
en juste quelques jours ma peine est devenue forêt
et m’a offert une triste nuit où je suis pris dans un faux rêve
la mort s’installe encore à la table de mes pensées
je contemple le vide rien ne m’empêche de m’y pencher
j’ai des penchants douteux je les garde dans ma mémoire
je rayonne de pureté pourtant au fond oui l’âme est noire
comme dans un manège le tour y est toujours le même
juste le temps qui passe en attendant le jour se lève
la salive tiède le bas de la paupière qui vrille
j’ai beau n’plus y penser la nuit passée sur le qui-vive
un bon jour pour mourir lorsque les problèmes s’additionnent
j’voudrais partir au loin comme dans un livre d’harrison
prendre la route pour l’ouest avec juste deux inconnus
la vie est morne, son jeu truqué, moi j’attends toujours un bonus
du son dans les oreilles pour bloquer ma réflexion
prise de drogue abusive pour noyer la déception
devant chaque souvenir je veux fuir la lucidité
on m’a dit comment faire j’ai choisi la duplicité
tout va partir, l’oubli fait avancer le temps
nos raisons dans une cage et je n’ai qu’à danser devant
une mesure par mois résolution est de masquer l’absence
je joue avec moi-même et pour l’issue rien n’est parié d’avance
le troisième oeil ouvert, je me vois vieux sans idéal
mon eris dans l’iris, j’ai tranché ma glande pinéale
j’ai bu tout le liquide de ma colonne vertébrale
ivre je m’abandonne vers tes bras

letras aleatórias

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