letras.top
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de apdlv - jeune victor

Loading...

[paroles du morceau : apdlv]

[refrain : jeune victor]
paname me manque, sujet intemporel
du fond d’ma campagne je donne un instant pour elle
paris est loin et je reste sans nouvelles
errant comme lobbyboy perdu dans un grand hôtel
paname me manque, les lumières du boulevard
les bruits et les odeurs mais pas celles de la rue mouffetard
paris est loin mais la folie n’est pas venue
au palier de la ville, je me sens comme parvenu
[couplet 1 : jeune victor]
magenta, organe unique comme placenta
tous ses débuts d’artères abreuvent les pages de mon agenda
les gens dehors ont plus d’histoire que toutes les fleurs de mon grand jardin
tous les soirs devant la seine je cherche mon sang marin
et c’est marrant, mon corps baigne dans la saumure
alcool tout distillé donc dans les veines l’assaut dure
lassé, je dors ! sur le divan j’ordonne au psy
je gravis une dune infinie comme celle de jodorwski
et ça blavague, la pillave ne s’arrête plus
et puis si ma bière mousse j’en macherais l’amertume
v’la dessus, pour être red j’suis plus un bleu
aussi sûr qu’elle et moi, aussi sûr qu’un plus un deux
quotidien a changé mais j’suis gé-char très loin des bars
suis-je bourré ou bien saoul pour des questions y’a pas de débats
saleté de rap, tu sais très bien qu’on se reverra très tard
je marche encore dans paris, j’ai les clavés, y’a pas de lézard

[refrain : jeune victor & polidano]
paname me manque, sujet intemporel
du fond d’ma campagne je donne un instant pour elle
paris est loin et je reste sans nouvelles
errant comme lobbyboy perdu dans un grand hôtel
paname me manque, les lumières du boulevard
les bruits et les odeurs mais pas celles de la rue mouffetard
paris est loin mais la folie n’est pas venue
au palier de la ville, je me sens comme parvenu
[couplet 2 : jeune victor]
dans le transilien c’est fin d’journée, les gens disent rien, je fais un couplet
quotidien sans lien, leur yeux rivés sur un bourré
je détourne la tête pour m’appuyer sur le rebord de la fenêtre
les remords en reflets être mort à deux doigts de l’être
deux lettres j’y vais, jeune vie passera pas l’eugénisme
société déclinante où la norme n’est pas le génie
j’ai plus la gêne, je guette les clavés au fond de la seine
j’ai besoin d’un petit coup, j’attends encore qu’on me l’assène

[refrain : jeune victor & polidano]
paname me manque, sujet intemporel
du fond d’ma campagne je donne un instant pour elle
paris est loin et je reste sans nouvelles
errant comme lobbyboy perdu dans un grand hôtel
paname me manque, les lumières du boulevard
les bruits et les odeurs mais pas celles de la rue mouffetard
paris est loin mais la folie n’est pas venue
au palier de la ville, je me sens comme parvenu
(x2)

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS

Loading...