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letra de freestyle 64 barres - jehkyl

ici le doc’ jehkyl sur le beat je f-ck
les pitres et ces connes
défier les cops à kicker des gosses
facile et je te sors ma zik’ et délire
après cône, le style est psychédélique
tous des clones, donc j’dégomme
tous des corps de vices et des tic’s
et on est tous d’accord quand je les sonne
tous les porcs dérivent et s’étripent
et wech t’as tort, j’ai des tonnes de rimes
que ta clique adore, et tous ça me force à écrire
donc, j’me forge à décrire, les miss rafolent de jehkyl
je reçois d’ordres que de la vie
j’ai pas d’or, que de la mif’
toujours heureux mais j’peux mordre
si tu dors comme un cafard débile
je viens du sale sud crédible
quand les filles défilent en taille b-sse jean
toutes les t-sses’ tailles fines
et les gars se tapent vite
pour un rhum et défilés
nique les clones et leurs idées
j’vide mes cônes et l’air stylé
si le décor à l’air vidé
c’est que jehkyl a lessivé
et si les kids savaient kidnapper le beat
ca ferait vite p-sser le mic
vas y je kicke, ça débite, sapé clean
après je file c-ssé le bar, c’est jehkyl
c-sse-dédi à mes types tarés qui se tapent des garces
ouais ouais, je t’avais dis que ça maîtrise
apprécie car les pitres se barrent déjà
et mon équipe se marre déjà
avec des k!lls de marie-jeanne
pendant que tu flippes rect-di, j’te calme
j’embarque tes potes à chaque syllabe
lexique de barge, préparez les baricades
technique de taré, quand les types se marraient
je lançais des “rimes raz-de-marées”
moi j’aime les tisses-mé qui s’déguisent en kiss-dé
qui maîtrisent les p’t-tes bétises
la crise et nie le délit
quand on attise des litres
jehkyl débite et puis nique les vérités, t’fait les rides et
roule un stick : fais-le vite fait
j’ai des idées faites de rimes et des kilomètres de vie
mec c’est risqué de piler quand t’es pisté
m’en fou, moi je résiste, alors filons mettre des gifles
j’ai de bons filons dans mes griffes
mais vidé quand je déprime c’est
filé, j’c-sse des vitres, j’m’é-
clipse et matte des films
ou je vais k!ll un tas de débiles
on dit que je plagie ça me fait rire
et puis je fume le spliff, j’suis dans un état fébrile
j’laisse ces tarés pathétiques ou ce mec l-ssé de taper la c
qui bouffe les restes, claque dans l’herbe ses -ssedics
sale branleur, si ça parle de fume, ça pour taffer t’as fait vite
parait que l’etat s’affaiblit, qu’c’est la crise
et que les français manquent de foi
vu que ça tise aux mêmes heures qu’le catéchisme
aller -ssez parlé vite
va séparer came et zik
j’aime la weed et fumer jusqu’à l’amnésie
j’laisse le sh-t souvent sur le côté
la flemme de nuit ? non
jamais avec mes proches, j’avais même des pistes
pour m’en rapprocher mais parait
faut le métro, sur tes bro la vérité
mais quand tu connais trop
faut se taire et pour se-cau
chez moi pas de métro mais les infos tournent aussi vite
qu’une nympho cl-to
bref, j’avais des fuites dans mes propos
et les potos restent en vue d’une suite
sur tes idées trop tôt, j’rêve
me j’proposerais si j’avais plus
dans ma visée, le chronomètre temporaire
là je progresse sur un fil
et les crocos rêvent de xxx
je cross-over, surtout xxx
en sport co blesse le xxx fier
le colonel c’est moi, je vais t’éreinter
t’es trop au fait d’un topo clair
ce sont mes copaux d’herbe qui t’ont rointé
une pet-te dernière tu parais claustro mec
retrouve le mojo, guette les photos faites
on va pointer

- jehkyl

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