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letra de balmain - hermano salvatore

[couplet 1]
j’aime quand l’instru me fait déclencher
te regarder danser et te déhancher
comme la chambre d’un gosse je suis dérangé
j’aime chanter des choses qui font déchanter
époque bien trop casse-tête pour les penseurs
vérité est différente de ce qu’elle peut sembler
bien sûr que c’est facile de faire du blé dans l’heure mais aussi de tomber dans un leurre dans blé
l’ami t’es entier t’as du cœur tu t’énerves car abus de confiance te font clairement douter, comme la bonne réponse dans leurs qcm, réussite se fera si t’es bien entouré, à brasser le vent
ça va t’passer devant, décevant comme le bus quand t’oublies d’faire signe, quand j’écris un couplet ça me diverti quand j’le rappe en freestyle on me dit ” merci ! ”
j’suis pas molière, j’suis pas rimbaud, mais observe le travail d’un pro, j’m’amuse d’puis l’époque de [?] absurde pour le daron qui se lève tout les matins tôt, riche dans l’cœur deux trois lingots
y’aura d’l’actus y’aura d’l’info, j’abuse j’fais du son qui claque plus, ma puce, que les talons d’une danseuse de flamenco

[refrain]
on m’dit ” quand c’est qu’tu refais un battle ? ” frérot ma vie c’est déjà un battle, même les meilleurs perdent oui c’est moche mec, la vie c’est comme un battle contre wojtek. on m’dit “quand c’est qu’tu refais un battle ” frérot ma vie c’est déjà un battle prêt pour la tempête, la veste à l’endroit, les couilles à l’envers, manito !

[couplet 2]
jouer au plus malin j’en ai rien à carrer
j’écris ce couplet comme au bord du ravin
zink j’ai la dalle, c’que j’écris de mes mains c’est d’la balle mais c’qu’ils veulent c’est qu’je porte du balmain, on s’moque du gratin de c’qu’on pourra nous dire, j’peux poser sur ton son s’tu veux pour l’alourdir, fou acharné rien ne pourra m’calmer j’ai des bouches à fermer, j’ai deux bouches à nourrir
j’regarde l’futur, j’veux plus checker l’retro j’y laissera les putes ouais et les escrocs, poussé par m-rs-ille alors je vais bien faire même si je n’ai qu’un but comme benedetto, on cachera les douleurs derrière un sourire, des textes plus fournis que la barbe du caccio, peu te porterons beaucoup te feront courir, faut pas avoir du cœur, faut avoir du cardio
j’me dis que si j’veux tout c’est qu’j’ai pas c’que j’veux, à part les [?] et le temps qu’on passe, relations qui évoluent comme nos cartes bleues, on trouvera plus simple quand c’est sans contact
bonté divine c’est l’apogée d’iblis, j’ai le bon produit pour les drogués d’lyrics gros j’récidive, j’vois plus trop mes limites donc j’en aurai fini quand j’les aurai finis

- hermano salvatore

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