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letra de la ville qui tombe - hatrize

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[couplet 1]
ta vie c’est un teaser de la fin du monde
je sais plus si je prie ou si je fais des pompes
je sais plus si je prie ou si je fais des pompes
j’arrive plein de feu parce que tout me parait sombre
j’ai connecté les plans pour éclater le score
la cible est devant, j’ai écarté les stores
profite du cyclone pour placer les mesures
je marche -ssez loin pour flinguer les records
à la fin y aura pas de über pour traverser les décombres
chargeur plein, silence, feu, s’ils veulent que je leur réponde
je regarde loin, tellement mieux, quand leur monde s’effondre
que ces chiens restent entre eux, on quittera pas les ombres
j’ai jeté les dés dans la foudre, planté mes poings dans les serments
j’ai avancé l’heure de la chute, changé le visage du perdant
j’ai migré, j’ai gardé la technique, enlevé la chance de mon lexique
je fais b-gg-r la ville, b-gg-r la ville, éclairage madlight sur nos vêtements

[refrain]
[?]
vent qui efface [?]
à grandir entre les naufrages –
la force de l’ennemi et les vices des siens
bien sûr qu’on fait pas notre âge
bien sûr qu’on grogne pour que tu parles bien
le regard tient dressé dans la tempête
je laisse couler l’eau sur mes mains et je fais le pain
je moins le gent-ar que les conquêtes
calme tant que leur monde reste loin

[couplet 2]
je soulève le poids des jours à la presse
carnage si tu m’invites à ta fête
t’es sur terre comme dans une gardav’
j’ai lesté mon par-choc pour que les barrages stressent
vos idoles craignent, je leur ai visé dans le torse
footing dans le monde à l’envers, rien de très certains sous ma lampe torche
je remonte la terre en direction du feu, détour par la zone si j’ai le temps
le khalis ou les armes forcément un des deux, ta vielle ville va brûler bêtement
je vais dans le labyrinthe avec du c4, snappe tant que tu veux t’évites pas le désastre
j’esp-ce les phases pour que l’orage réponde, plus je touche la force plus nos routes s’écartent
toujours mieux seul que dans leurs soirées pleines de poudre
caden-sse la ville, harnache le ciel au cas où nos dettes sèment le trouble
toujours mieux seul que dans leurs soirées pleines de poudre
caden-sse la ville, harnache le ciel au cas où nos dettes sèment le trouble

[refrain]
[?]
vent qui efface [?]
à grandir entre les naufrages –
la force de l’ennemi et les vices des siens
bien sûr qu’on fait pas notre âge
bien sûr qu’on grogne pour que tu parles bien
le regard tient dressé dans la tempête
je laisse couler l’eau sur mes mains et je fais le pain
je moins le gent-ar que les conquêtes
calme tant que leur monde reste loin

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