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letra de l.a. - pataya - hash24 & sopico

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[couplet 1 : limsa]
validé par la street ou les confrères, les cous saignent à force de prendre des coups
j’suis né poussière, j’repartirai tout fier
les p’t-ts choisissent entre la street et les concerts
c’est comme ça à aulnay zoo
avec le h et so’, on a bossé 7/7, pour mettre des projets sur ieps
c’est des foutaises, y’a rien qui marche, poto, la vie met des souplesses
j’en ai sous l’coude mais l’avenir m’dira
si j’mérite le million d’euro ou seulement 1000 dirhams
survivre ici-bas, crever dans l’93, à ibiza
le salaire maximum pour survire comme un riche, dis-moi
ou bien l’salaire minimal
quitter cette vie minable, s’affranchir des limites comme sopico, sa fine guitare
l’ascension comme un cycliste
j’sais plus qui j’suis, ceux qui m’critiquent m’imagine un spliff, un p’t-t cigare
ou avec des dollars
la mort m’attends, j’suis paré pour le décollage
on connaît pas l’honneur mais l’déshonneur et des odeurs
car on est des zonards
mon poto, c’est dommage
j’ai pas d’réseau, j’ai aucune raison d’être raisonnable
la vie : un instant mémorable
on verra si on a pu éviter l’mélodrame

[refrain]
le temps nous fait croire à la paix, aux rêves
j’dois changer, je n’suis plus le même
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
laisse-moi p-sser dans la ville
stresse pas, j’gratte des pages, j’peux rabaisser ma vie
reste calme, chaque phase faut qu’tu t’concentres sur ma vitesse
n’essaye pas d’nous clasher, sors des ruines, d’la misère

[couplet 2 : hash24]
la vie faut un billet pour la t ou c’est un billet pour l’avenir
attiré par le ciment, pas le s automatique
grandi près des vrais, activé pour réciter peines en ville
le tout en restant discret, les armes sont dans les cils
m’enfuir avec la belle somme
p-sser un salam à la cité, perdu entre poisse et respect
poser la question à tous ceux qui m’ont vu briller
ça peut changer si auprès d’la daronne on sent l’besoin d’rester
au temps on fait honneur, au grands en balle on fait appel
comprends pourquoi je pars en soum régler mes paramètres
t’es pas le seul, nan nan, guidé par le seum
j’attends qu’on ler-par de ceux qu’on aime conçus pour tracer segments denses
demande à k, demande à zeugeuh ou à so’
quand j’ai l’seum, je coupe le sh-t à froid stimulé par le chiffre
tout dans l’attaque, pas dans les vertus de la drogue
tout c’qu’on a c’est grâce à dieu, pensez à tout c’qu’il nous inflige
en attendant les signes, ou que le succès se distille
on gère le plavon dans le district
on fait les cents pas et marche avec nos semblables
mort, sourit, pété sans voix, bébé du biff on s’empare
affronter les combats, les guerres et les défaites
le regard froid du daron quand son frangin décède
je prends sur moi, apprends à simuler la paix
ouvre les yeux, pendant la merde, ça puait que sur la déserte, fils

[refrain]
le temps nous fait croire à la paix, aux rêves
j’dois changer, je n’suis plus le même
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
laisse-moi p-sser dans la ville
stresse pas, j’gratte des pages, j’peux rabaisser ma vie
reste calme, chaque phase faut qu’tu t’concentres sur ma vitesse
n’essaye pas d’nous clasher, sors des ruines, d’la misère

[couplet 3 : sopico]
laisse faire, j’peux tout niquer si tu m’permets
dojo fait frémir bientôt les states
tu nous as vu dans la rue et sur internet
fais cement-dou, on t’a grillé ‘vec un soulard traîner dans l’hood
ici y’a qu’des snakes, les poukaves et les loups vont créer des embrouilles
ne raconte pas ta life, j’ai mon p’t-t bout d’paradise
pas sûr que j’t’appelle quand on sera là-bas
billet aller retour, l.a. – pataya
hey, pas d’attache, ouais la vie est ordinaire
hormis l’fait que mes gars [falava?] m’portent
la vraie musique te donne l’ivresse
j’dois régler la bonne vitesse
aucun être humain pourra m’freiner, j’progresse
j’vais p-sser quitte à oublier la politesse
hey j’dois régler la bonne vitesse
aucun être humain pourra m’freiner, j’progresse
j’vais p-sser quitte à oublier la politesse

[refrain]
le temps nous fait croire à la paix, aux rêves
j’dois changer, je n’suis plus le même
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
oublier les regards blessants
ne pas devoir baisser la tête quand on essaye
affronter les sauts d’humeur, le vide, laissez-moi descendre
laisse-moi p-sser dans la ville
stresse pas, j’gratte des pages, j’peux rabaisser ma vie
reste calme, chaque phase faut qu’tu t’concentres sur ma vitesse
n’essaye pas d’nous clasher, sors des ruines, d’la misère

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