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letra de philo' de con - h-tône

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“conjugue bien et tais-toi. tu seras quand tu seras grand. tu diras quand tu sauras et, pour ça, il faut attendre. en attendant c’est loin, et, loin, c’est pas maintenant pour l’enfant qui n’est rien parce qu’il veut deviendre
que l’on t’éduque en surface, et, si tu fais ce que l’on te demande, à un moment, tu te surp-sses (si tu restes -ssez longtemps). tu ressors, tu as les bases et ya personne qui les déments. je croyais même qu’il n’y avait que chez les faf, que l’on décidait de ce qui s’apprend
on se fixe un point, même qu’on ne veuille, et on n’en démord pas. et si ce poing mène dans la gueule, on se démerdera. on ira plus loin que là-bas parce qu’on y court tout schuss. droit dans nos droits, parce qu’on est tous toujours le juste qui se fie en vain, a sa vue qui fit qu’il vint jusqu’ici afin de noyer dans le jus du vide et feindre la vie. s’enfuir enfin à bord de l’artillerie sans freins vers l’avenir qui lui convient. les moyens justifient la fin
on invente, on écoute, découvre en bêchant… des discours alléchant pour des ventres moins la bouffe. de la boue plein les gens, du vent plein la bouche… trois pet-ts tours mais reste tant qu’elle convainc la touche de « cuiki parle », qui dit qu’c’est lui qui sait. mais on sait que « cuiki sait », c’est souvent lui qui se tait. en fait, on sait que dal. c’est « cuikidikyè », mais, « cuikyè », c’est qui, quand on sait que « cuikyè », c’est souvent « cuiki » fuit l’sujet ?
je reste circonspect même sûr que l’on se perde. censure, conspi’… je comprends, mais, pour quoi faire ? besoin d’ennemie ? je t’-ssure qu’il y a plein de sang sur ton cri comme sur tes mains
on s’en fout de savoir qui est l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours ! tu sais que l’ours a bien vu comme l’homme fait ses courses. 1 pour la pêche gros. 2 pour la ch-sse d’eau. 3 pour « cuiki » perd sa place et…
et ça fait 1 parce que ça sonne bien, 2 pour que c’est mieux, 3 parce jusque là ça va et qu’au-delà je ne connais pas. c’est pour les fils de pub et les enfants d’canette. ceux qui p-ssent dessus et tous ensemble se la mettent. pour mes potos pété et les pâtes au pesto. les poteaux de parc en plastiques, ceux qui se les tapent en pestant. ceux dont le crime reste vague, le gosse qui hait les craies, ouais. les teams et le swag, les possy et les crew
10 vers frais, 2 airs faux, un air sot et l’air sec, puis, l’effet du verso : un désert de cerveau. «tout ce que je fais, j’y verse trop », dit l’excès qui, merde, cause. allez, je lève mon verre d’eau à mes rêves d’overdose

les sacs dans les racks qu’il faut qu’on soit s’empilent ou tout aide et qu’on somme, se claquent dans les pattes que de beaux constats débiles ou prouvés dès qu’on sort. ya pas que dans les rads que les gros cons parlent et filent y trouver réconfort. moi, je craque dans les gogues dès que je veux prendre part et philosopher le comptoir.”

letras aleatórias

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