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letra de noir - glauque

[paroles de “noir”]

[couplet 1]
appelle-moi quand ça va pas, tes soirées m’intéressent peu
remplies d’ces mecs qui cherchent où ranger leur queue
j’suis comme eux mais cette partie d’moi m’intéresse pas
j’essaie de lutter contre moi-même quand j’agis parfois, j’adhère pas
j’m’en rends compte avec du r’tard
j’sais bien c’que j’perds mais j’continue quand même
j’sais bien c’que j’pеrds mais j’continue quand même
ternissant mêmе c’qui m’a permis de naitre, j’vise d’être premier dans l’domaine
et vu que je manie l’hypocrisie d’une main de maitre
y a des chances que j’fasse reine une princesse qui n’a pas d’territoire
c’est mon double à la mène, il est ni bon ni mal et j’suis ni lui ni moi
est-ce que je t’aime ?
ni oui ni non comme les soirées à thème où j’allais à une trentaine coincés dans une pièce étroite
avec des mecs bourrés qui veulent mettre des droites
où les seuls qui s’amusent, c’est les verres éclatés et les gens éclatés au physique ingrat
le sol qui colle, la vodka trojka, les filles qui rient fort, qui se contrôlent pas
les ex qui s’ignorent, les gens qui s’aiment pas
les quelques corps qui tentent, quelques torts qui rentrent des pas d’danse

[refrain]
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
[couplet 2]
les meufs, j’en ai serré quelques unes, j’y ai laissé quelques plumes
et j’ai vite compris qu’avec la vue, on choisissait c’que voulait notre allié dans l’fut
les mecs cools sont trop jeunes pour plus être cool
mais je l’suis dev’nu aussi et j’veux plus leur plaire
mes envies oscillent entre album et scène, vengeance pour celui qui l’voulait à seize ans
devenir quelqu’un c’est pas l’dire, comme se dire ouvert d’esprit, c’est pas l’être
j’ai mis mon adolescence dans des lettres quand j’avais plein d’opinions à salir
que j’pensais justifier par mon mal-être, quand j’avais même pas fait ma première rime
mais que j’ressentais déjà toute la haine quand un sale type approchait ma copine
maintenant j’suis moi, j’suis plus personne, j’me suis construit lors de l’exode
j’ai dit des mots durs, fallait qu’ça sorte et si j’dois que’qu’chose à quelqu’un, j’le dois au sort
pas redevable mais j’reconnais toutes les portes qui m’ont été ouvertes par mes proches
eux le valent, pour tous ceux qui ont eu la force de me faire des reproches
peu le font, beaucoup l’regrettent, hausser l’ton, baisser la tête
accepter d’l’aide de ceux qui n’attendent pas de merci mais merci quand même si j’l’ai pas déjà dit
rectifier l’angle, recadrer le tir, absent dans l’meilleur mais dans le pire
entendant l’alcool étouffer mes cris pour dev’nir un homme, seul, j’dois faire le tri

[pont]
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête
[refrain]
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête
il f’sait noir dans ma tête quand je dansais
il f’sait noir dans ma tête

- glauque

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