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letra de sans fin - gbg, mortoxon & pim'sama

[couplet 1 : gbg]
hey
ce soir je sais pas quoi écrire
pas quoi leur dire
pas dans les vapes
pas dans l’abîme
j’me mets pas mal
mais j’crains l’pire
j’sais pas pourquoi j’exorcise par les mots
on change fort les modes et on les codifie par les nôtres
quand j’m’en sors enfin
mon corps ne se sent pas bien
je casse bien le mood en vain
en pensant en sortir vainqueur
je combats le mal par moi même
personne n’comprеndra où ça mène
personne mе croit quand j’me malmène
ok lourd mais c’est d’l’art mamène
quand j’écris fat j’ai pas d’thème
pour faire du mal j’ai pas d’flemme
les gens m’connaissent pas et ça m’gène
enfin j’mens c’est juste ma peine qui s’exprime
besoin des gens que j’estime
ou d’un gros couplet de nessbeal
faut que je recharge les batteries
je décide moi même d’ma vie
quand j’fais du mal j’en fais partie
hey
besoin d’un chant à l’unisson
d’me ressourcer dans mille sons
de faire le tri dans mes visions
ah
[refrain : gbg]
c’est comme si j’étais dans un film sans fin
c’est comme si j’étais dans un tube sans refrain
c’est comme si j’étais dans un film sans fin
c’est comme si j’étais dans un tube sans refrain
et j’veux pas die
donc je me taille
et j’veux pas die
donc je me taille

[couplet 2 : mortoxon]
ça repart
trois heures que je ride
j’en ai marre
un an plus tard
toujours la même vibe
j’trouve pas le sommeil sans le son des vagues
j’commence à m’dire, mourir de bad, c’était pas une blague
j’comptais pas lui passer d’bague
on est trop jeunes et c’est passé d’mode
même si mes potes ont déjà des mômes
mais pas avec cette mentalité à deux balles
donc j’remballe
valise sur l’té-cô
dans la caisse le neko
on montre rien tu nnais-co
mais le seum blesse mon ego
t’étais la seule, toujours les cœurs sur le bigo
toujours en guerre avec mes démons
dors pas la nuit, taffer mes démos
et quand j’peux plus, faut qu’j’prenne le large
sinon j’fais qu’griffonner la marge
comme si j’étais barge
j’pense trop quand j’vois pas ton reflet
donc j’charge megz et godets
parce que j’peux plus glisser ta mèche sur le côté
sois un homme
connard
ma peine est sous-cotée
mais difficile à expliquer
donc difficile à expier
pour ça qu’j’la pose sur papier
pour toutes ces nuits où j’ai pas pied
ou j’grille les feux, pied au plancher
venin dans les veines, substances mélangées
j’sais pas si à nos âges, faut s’exploser ou se ménager
mais promis juré j’vais rien lâcher
[refrain : mortoxon & gbg]
c’est comme si j’étais dans un train sans frein
comme si j’étais dans des dunes sans rien
c’est comme si j’étais dans un train sans frein
comme si j’étais dans des dunes sans rien
j’veux pas que tu tailles
sinon j’vais die
c’est comme si j’étais dans un film sans fin
c’est comme si j’étais dans un tube sans refrain
c’est comme si j’étais dans un film sans fin
c’est comme si j’étais dans un tube sans refrain
et j’veux pas die
donc je me taille

- gbg mortoxon pimsama

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