letras.top
a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de contre moi-même - garizim

Loading...

j’ai pas d’ bodygard sur mon cas mon pire ennemi
s’acharne me recrache mes regrets sur ma vie
s’attarde si je n’apprends que de moi-même mon
père emmanuel ne m’aurait jamais dit lève-toi et rappe
lève-toi et rappe comme un berreta
mental rétrograde alors je rappe comme un caporal j’ai
des entailles plein les omoplates signées par mes propres
initiales haleine de chacal m’arrache le visage à coups de
mâchoire machinale j’ai sous les pieds des cadavres dans
le placard des cartables abritant mon moi macabre implacable
me retraite sans cesse de sale incapable tellement de rage que
je rappe en dérapage appelle-moi garizim l’apache même si la morale n’est pas rentable
en advisory parental on me verra pas la machine de guerre
est mise en marche prends courage et je rappe comme une
vendetta j’ai dans le miroir ce combat interminable qui sur mes
doigts ferme le tiroir trace la ligne entre kainry et tijuana alors je
rappe le film baraka on a tous un juda bien caché en soi celui
qui vend les siens même s’il ne le veut pas l’état de vos
consciences porte le burqa j’en ai marre alors je rappe sur mes
gardes que mes dires deviennent la prochaine vulgate pour
2011 ce sera quoi qui nous bombardera qui aura trop fait parler
son propre moi qui aura oublié que c’est contre soi le plus grand des combats

ref
contre moi-même je combats contre
moi-même sauvez-moi que chacun porte sa croix mes démons veulent m’avoir
mes démons veulent ma mort la bataille est dans mon corps
contre moi-même

guerre interne c’est les mains trempées d’essence que
j’allume vos lanternes mes démons ont voulu me taire alors
je rappe comme un volontaire le consentir c’est de serrer la
main à lucifer combat déloyal puisque j’ai les mains pleines,
alors je vocifère derrière mon dos on voudrait me pousser à la
noyade spirituelle tuer mes verbes et causer ma perte comme
christofer wallace j’ai militarisé ma foi alors je rappe comme une
kalash je me sens épié comme si j’étais de l’autre coté du miroir
cendré aucun vocabulaire de pitié ne l’habite divisé comme outou
et touti israel palestine braqués a l’interne tous partout s’abritent les
blessures cicatrisent mais jamais ne s’oublient besoin d’air alors je
rappe comme une goupille capitonnée de l’intérieur pourtant si dégourdi
puisque je m’auto-déchire mon âme s’alourdie hostile conflit guerre de tranchée qui
m’-ssourdit alors je rappe comme foxy brown alors je rappe rien
d’imaginaire c’est du rap sale pas du disco funky town combat
suicidaire augmente la cadence alors je rappe jusqu’au 12e round
ce qui ne tue pas me rend plus fort pour vaincre alors je me ferai
violence l’ennemi dans les cordes on lui mutilera le corps là ou le
mal se taire le péché abondera encore c’est contre nous-mêmes le
plus grand des combats

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS

Loading...