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letra de caravelle - furax barbarossa

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dehors c’est gris t’as vu c’temps ?
ça sent le chien mouillé qui se doit d’oublier ce qui l’amuse tant
le condé peut patrouiller, nous on peut pas rouiller
khouya j’t’emmène vadrouiller, au cri d’la mustang
on retournera sous ce pont pour ne pas tout zapper
pour me rappeler, que là ou là, que de partout ça pèle
il avait raison faut du carton pour isoler du sol
il ne l’a plus jamais touché, c’est fou l’ironie du sort
si vous m’aviez vu, c’est d’la qu’tout part, le mental
enroulé dans du papier bulles sous la départementalе
au matin passant la frontière, dans un cas de crise, unis
on poussait unе boîte à vitesse dans un caddi prisunic
visualise-toi l’enterrement
tu m’croirais pas si j’te racontais l’histoire entièrement
on en rit ; c’est un mal, sur le coup, c’est un poids de plus
c’est un mat qui s’écroule sur un toit de plume
on remarchera dans le riff, ici la paix ça rame
là-bas c’est l’huile d’olive sur de la béssara
il disaient t’es plus seul ah ouais mon gars ses mots là m’aidaient
on ira saley à chef chaouen embrasser mohamed
on reverra peu etre pas les mêmes non
et on devrait peut-être en parler maintenant
frère on a tâté la merde, son goût n’est pas variable
pour tout un crew de barbarians, route et bavaria ouai
on revivra cette soirée où des étoiles plein les cieux
on pr-nonçait des vœux, mais ces efforts ne payent pas
puisqu’on revivra ce jour où j’ai d’la keta plein les yeux
et j’amorce le feu, dans un port des pays bas
sous trip j’ai brûlé des étapes, et au taquet de 407
c’est inacceptable pour un paquet de gars censés
mais la vie c’est pas toujours bien ou mal, c’est comme on peut les mecs
j’ai une question viens on marche, c’est comment pour l’aimer
le silence, j’arrive pas c’est mort, j’arrive pas c’est mort
toutes ces nuits à dormir dans un caisson d’basses énorme
si on m’avait dit que l’asile serait à ciel ouvert, sans grillage
que des carrés d’acides rempliraient nos verre d’sangrias
j’arrive pas c’est mort, si j’retourne là-bas c’est cuit
si je retrouve la crasse, la casse, la base et l’cuivre
là où la police s’est barrée, ou la folie sépare
je l’ai vécu j’suis devant vous ne m’applaudissez pas ouais
voyez, ça fait du bien je rentre
tout se nettoyer quand l’autre s’est noyé dans ce qu’il vient de rendre
la plupart des gars disaient : on s’fixe pas dégage
mais la mort avait d’autre plans, asphyxié par des gaz
je vu trop de braves rôtir, vu que navarro tire
on va lui remettre une tempête en chantant pavarotti
j’te ramène dans la caisse ou je pliai vos grands chefs
pilote les mains dans la graisse le pied au plancher
je ferais le bilan seulement si la pluie est battante
je suis plaie remplie de pue qu’on ne pourra pas suturer
je t’ai jamais dit qu’elle serait la plus épatante
ma vie une histoire de plus qui n’aura pas su durer
rien, rien rien, rien d’autre à gâcher
rien à perdre d’autre, à part des perles d’eau… tiens
rien rien rien, j’ai rien d’autre à gâcher, j’ai bien 2 3 cachettes
mais rien d’autre à cracher
chut rien niente, des wagons de larmes
ils ne font que passer fils, ils dégageront de là
non ho dimenticato niente si le bien ça paye
que chacun porte sa peine moi je ne veux rien zapper
rien, rien rien, rien d’autre à gâcher
rien à perdre d’autre, à part des perles d’eau… tiens
rien rien rien, j’ai rien d’autre à gâcher, j’ai bien 2 3 cachettes
mais rien d’autre à cracher
chut rien niente, des wagons de larmes
ils ne font que passer fils, ils dégageront de là
non ho dimenticato niente si le bien ça paye
que chacun porte sa peine moi je ne veux rien zapper
rien, rien rien, rien d’autre à gâcher
rien à perdre d’autre, à part des perles d’eau… tiens
rien rien rien, j’ai rien d’autre à gâcher, j’ai bien 2 3 cachettes
mais rien d’autre à cracher
chut rien niente, des wagons de larmes
ils ne font que passer fils, ils dégageront de là
non ho dimenticato niente si le bien ça paye
que chacun porte sa peine moi je ne veux rien zapper

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