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letra de eya - eta cby

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ils m’ont couru après comme si j’étais rien
20 ans, déjà maintenant que j’leurs fais l’amour
leurs paroles me brûlaient comme du valérien
être humain, c’est aimer et souhaiter la mort
j’voudrais parler des femmes, de mes défauts
que tout s’efface quand j’écris ces lignes
mon envie de pouvoir graver mon nom
bâtir mon empire comme à medellín
mais c’est quoi la vie, c’est les filles, c’est la mort
c’est grimper et sauter de la tour
éduquer l’esprit, redessiner son corps
raconter les erreurs qu’on a tous fait
moi j’ai que des films en tête
petit serre les poings, grandis dans ce monde
apprends que la vie s’tempère
projette la lumière, découvre les ombres
frelon, ta morale va la faire à d’autres
moi j’attends que le refrain pour leur dire amen
quand j’suis face à l’amour, j’me le mets à dos
j’sais pas pourquoi j’le fais mais j’le fais quand même
les sentiments sont denses dans la foule enlacée
et mon âme créé le vide face au bleu des flammes
et j’vois le bout du monde même au-delà du mur
quand mon regard se plonge dans les yeux des femmes
si tu savais maintenant comment c’est facile
faire tomber sous le charme une fille dans la rue
parce que j’attends plus rien de la vie, j’agis
j’me contente d’être un homme jamais dans l’abus
et j’avoue qu’j’suis serein quand je vis mes rêves
tu l’as compris
j’suis solo dans la cage à lutter pour de l’air
mais j’ai perdu les clefs de la son-pri
un regard, un sourire dessiné sur la joue
le futur est à nous, on a tout dit
le partage de nos cœurs et l’ivresse de nos corps
la naissance et la mort, on a tout pris
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
parfois j’me sens seul malgré tout l’amour
j’espère que raphaël t’es bien tout là-haut
difficile de savoir comment tourne la roue
mais les rayons rappellent que y a pas que la mort
moi j’ai pas fini de pleurer dans ma vie
et surtout pas fini de chanter dans la rue
j’viens du haut des montagnes et si je marche en ville
c’est pour crier au monde comment est la vue
bientôt la fin, mon frère
on dira qu’on était d’ceux qui prenaient
le temps pour s’aimer vraiment
on en a fait des choses de l’hiver à l’été
des souvenirs gravés grâce à nos parents
et j’avoue que j’suis serein quand je vis mes rêves
tu l’as compris
j’suis solo dans la cage à embrasser de l’air
mais j’ai trouvé les clefs de la son-pri
un regard, un sourire dessiné sur la joue
le futur est à nous, on a tout dit
le partage de nos cœurs et l’ivresse de nos corps
la naissance et la mort, on a tout pris
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se tai
résultat du knowledge graph
eya
eta
ils m’ont couru après comme si j’étais rien
20 ans, déjà maintenant que j’leurs fais l’amour
leurs paroles me brûlaient comme du valérien
être humain, c’est aimer et souhaiter la mort
j’voudrais parler des femmes, de mes défauts
que tout s’efface quand j’écris ces lignes
mon envie de pouvoir graver mon nom
bâtir mon empire comme à medellín
mais c’est quoi la vie, c’est les filles, c’est la mort
c’est grimper et sauter de la tour
éduquer l’esprit, redessiner son corps
raconter les erreurs qu’on a tous fait
moi j’ai que des films en tête
petit serre les poings, grandis dans ce monde
apprends que la vie s’tempère
projette la lumière, découvre les ombres
frelon, ta morale va la faire à d’autres
moi j’attends que le refrain pour leur dire amen
quand j’suis face à l’amour, j’me le mets à dos
j’sais pas pourquoi j’le fais mais j’le fais quand même
les sentiments sont denses dans la foule enlacée
et mon âme créé le vide face au bleu des flammes
et j’vois le bout du monde même au-delà du mur
quand mon regard se plonge dans les yeux des femmes
si tu savais maintenant comment c’est facile
faire tomber sous le charme une fille dans la rue
parce que j’attends plus rien de la vie, j’agis
j’me contente d’être un homme jamais dans l’abus
et j’avoue qu’j’suis serein quand je vis mes rêves
tu l’as compris
j’suis solo dans la cage à lutter pour de l’air
mais j’ai perdu les clefs de la son-pri
un regard, un sourire dessiné sur la joue
le futur est à nous, on a tout dit
le partage de nos cœurs et l’ivresse de nos corps
la naissance et la mort, on a tout pris
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
parfois j’me sens seul malgré tout l’amour
j’espère que raphaël t’es bien tout là-haut
difficile de savoir comment tourne la roue
mais les rayons rappellent que y a pas que la mort
moi j’ai pas fini de pleurer dans ma vie
et surtout pas fini de chanter dans la rue
j’viens du haut des montagnes et si je marche en ville
c’est pour crier au monde comment est la vue
bientôt la fin, mon frère
on dira qu’on était d’ceux qui prenaient
le temps pour s’aimer vraiment
on en a fait des choses de l’hiver à l’été
des souvenirs gravés grâce à nos parents
et j’avoue que j’suis serein quand je vis mes rêves
tu l’as compris
j’suis solo dans la cage à embrasser de l’air
mais j’ai trouvé les clefs de la son-pri
un regard, un sourire dessiné sur la joue
le futur est à nous, on a tout dit
le partage de nos cœurs et l’ivresse de nos corps
la naissance et la mort, on a tout pris
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
eya, j’suis dans le thème et j’souris pour la guerre
j’ai grandi face à mes défauts, j’suis plus le même qu’hier
eh gars, c’est plus la peine de crier qu’on va le faire
c’est fini le pouvoir des mots, pour agir il faut se taire

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