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letra de vision - eikichi phoenixia

couplet n°1 :
mes cartouches d’encre sont des grenades qui explosent dès l’écriture
tu fais le dos crawlé dans tes larmes qui implore tant de fissures
je reste correct, autant dire que je sois venimeux
à la puissance de mes mots (maux), le ciel s’assombrit : c’est nuageux
(si) les étoiles parlaient, elles diraient que je les ai contemplé
si la vie est un essai, dis leur que j’ai tout essayé
je voudrais être multi life, comme mario bros
il y pas que les rageux qui tombent de haut, f-ck i am a boss now !
j’suis aimé, à défaut d’être aimable, à défaut d’être joignable
ouvre ton coeur, jette ton portable
n’attend pas le dernier moment pour dire ce qu’il t’passe par l’esprit
car le plus souvent une personne suicidaire : elle sourit
mais sérieux, qu’est ce que tu comptes faire ?
démissionner de ton taf, trainer en bas du hall, aller chiner à la caf
apprend à te relever, petit ne chôme pas
apprend à soupirer s’te plait maman assieds toi
refrain x2
laisse moi respirer, laisse moi transpirer
exigeante humanité je ne veux qu’exister
je me contente de signer une trace sonorisé
assez simple à expliquer il suffira d’écouter

couplet n°2 :
où est mon bonheur ? le plaisir ? le désir me laisse
je t’emmène né dans un voyage sponsorisé par desireless
j’arrive plus à pleurer, mon coeur est en pleine sécheresse
epuisé, même la pluie, peut plus éteindre mes feux de détresse

ma plus grande crainte, serait que mes démons refassent surface
le constat est amer, 20 années à faire du surplace
petit traine pas dehors, ta vision sera écorchée
endoctriner par une morale, sur laquelle tu peux te torcher

tu niques un bâtard, ça fait un oeil au beurre noir
tu niques une pétasse ça fait une gosse puis au revoir
tu niques une bouteille ça fait un putain de trou noir
par contre si tu niques ta vie, gringo ce n’est pas une question d’hasard

imagine-toi, dans un monde hors galaxie
le bonheur s’est endurci
la haine comme seul interprète
au mon dieu, la mort est elle si discrète
nos vies partent en fumées lorsqu’on fume une cigarette
une trahison renforcée, des liens sont déracinés
la violence a pris le dessus, le partage n’existe même plus
messieurs mesdames excusez-moi si mes paroles sont mal vue
il n’y a pas que les sourds qui pourraient y voir un sombre malentendu

des fois je lève la tête et je regarde les étoiles
je me dis souvent que la vie est belle
faut mettre la peinture sur la toile
c’est décidé en octobre j’enregistre mes sons et puis basta
le 17 décembre je vais faire mal comme le bayern au barca

refrain x2
laisse moi respirer, laisse moi transpirer
exigeante humanité je ne veux qu’exister
je me contente de signer une trace sonorisé
assez simple à expliquer il suffira d’écouter

- eikichi phoenixia

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