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letra de moi-même - dil (fra)

[paroles de “moi-même”]

[intro]
nehzia on the track
j’ai appris à compter que sur moi-même (mmh, mmh)
millions d’salopes, millions d’problèmes, toujours posté sur le corner
et c’est en bas que ça chiffre, que ça coupe, que ça détaille
c’est le d, c’est le d, eh

[couplet 1]
toujours au front comme un soldat, j’laisse paraître aucune émotion (aucune)
té-ma le train d’vie de bâtard, un jour, je paierais la caution (cash)
sur ma route, je croise que des cadavres (unh), sur mon cœur une centaine de balafres (piouh)
montagne du succès que j’escalade, ce soir chérie veut que j’l’emmène en balade
j’prie pour les miens tous les jours que dieu fait, tu peux pas en dire autant (nan)
tout pour la maille donc j’fais gaffe à mes placements (unh)
le d en première place du class-m-nt
j’viserais la tête, nan, j’viserais pas les jambes
les mythes deviennent toujours des légendes
j’écoute pas twitter, j’écoute pas les gens
dans les ténèbres depuis l’adolescence (salope)
[pré-refrain]
j’t’ai pas vu toi quand j’étais dans les tranchées
depuis tit-pe, moi, je pense qu’à me venger
j’sais d’où je viens donc jamais je me vanterai
devant un contrat, non jamais, je ne banderais
maman s’inquiète, mais je connais ma mission
tu mens aux petits dans ta caisse de location, j’les baise dès que j’en ai l’occasion (oui)

[couplet 2]
la bataille est toujours la même, devenir comme les autres sans jamais se trouver (jamais)
j’suis pas là pour gagner des trophées, j’ai promis que j’rentrerais pas sans les lovés (jamais)
oui le temps passe, mais crois pas que je t’oublie
j’les vois de loin, j’les regarde faire la toupie
les jambes à nos cous quand ça sentait le roussi
j’tabasse la prod’ d’une violence presque inouïe (bâtard)
on baise toujours monsieur l’agent (toujours), je cherche toujours beaucoup d’argent (beaucoup)
j’suis plus le même qu’auparavant
ce soir j’rentre tard, j’ai mis le bois d’argent
essaye de tester histoire de voir si le ridicule ne tue pas (salope)
tous les anciens sont devenus grave ttus-ba
[pré-refrain]
j’t’ai pas vu toi quand j’étais dans les tranchées
depuis tit-pe, moi, je pense qu’à me venger
j’sais d’où je viens donc jamais je me vanterai
devant un contrat, non jamais, je ne banderais (jamais, jamais)
maman s’inquiète, mais je connais ma mission
tu mens aux petits dans ta caisse de location, j’les baise dès que j’en ai l’occasion (oui)

[refrain]
j’ai appris à compter que sur moi-même (moi-même) pour avoir c’putain d’salaire
millions d’salopes millions d’problèmes, toujours posté sur le corner
et c’est en bas que ça chiffre, que ça coupe, que ça détaille
j’deviens malade pour le bif’, pour le flouze, pour la moula’ (oui)
j’ai appris à compter que sur moi-même (moi-même) pour avoir c’putain d’salaire
millions d’salopes millions d’problèmes, toujours posté sur le corner
et c’est en bas que ça chiffre, que ça coupe, que ça détaille
j’deviens malade pour le bif’, pour le flouze, pour la moula’ (brrr)

[outro]
j’ai appris à compter que sur moi-même pour avoir c’putain d’salaire
millions d’salopes millions d’problèmes, toujours posté sur le corner
et c’est en bas que ça chiffre, que ça coupe, que ça détaille
eh

- dil fra

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