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letra de freestyle - au quartier (2019) - deadi

[paroles de “freestyle – au quartier (2019)”]

[couplet unique]
mes nuits blanches ont pas des gueules de soirées parisiennes ; saucé par la vue du sang même quand c’est moi qui saigne
j’connais moins “la m-rs-illaise” que la jamaïcaine ; j’risque d’en baver au prochain test salivaire
sans cœur envers les similis, la zik’ est [?] blade ; la tête dans les nuages quel que soit l’état du ciel
j’connais rien d’aussi sacré qu’un bon vieux sacrilège ; d’après toi, c’est dieu qui teste ; à mes yeux, c’еst toi qui merdes
deadi : lyrical criminеl au casier quasi vierge, l’écriture qui pue la be-her’ à dix mètres
et qui mène la vie dure à qui la dit belle, celle qui sert la sangria, lsd dans la pipette
le pire cauchemar des rêveurs et des appuie-têtes, j’suis quelque part entre l’millésime et la piquette
chez nous, les soirées pillaves ont jamais d’happy end ; tombe dans la neige en automne et tu passeras pas l’hiver
des putains d’cas sociaux m’les cassent et c’est moi qui paye, dites-leur qu’ils sont lourds et tous ces bouffons croient qu’ils pèsent
magic haze dans la che-po’ et j’suis d’humeur magicienne, d’humeur à changer ton capri-sun en caprices, haine
d’jà détérioré bien avant d’atterrir à [?] ; la daronne m’a fait promettre de niquer v’là les mères
en attendant l’jour où jacquie r’merciera michel, force est d’constater qu’le boule d’aphrodite a pris cher
fiché s pour sh-t [?] d’puis déjà deux fois dix berges, facile d’aimer les condés quand c’est pas toi qu’ils cherchent
ma dernière interpellation remonte à c’week-end ; plutôt qu’finir esclave, qu’vos paradis soient pinhead

- deadi

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