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letra de réel - chicaille argenté

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[paroles de “réel”]

[intro]
eh, b25, c’est méchant ma gueule
b25, c’est méchant ma gueule
kichta records, kichta records , kichta records

[couplet 1]
il est neuf heures, je suis pas là avec l’ancien on est dans le bâtiment
il parle on sait qu’il ment, en cj jusqu’à mon jugement (putain)
les prises de tête, les embrouilles, les perquisitions, je te jure c’est chiant (wallah)
c’est des humains en les voyant mais au fond d’eux des chiens
j’ai des frères sûr sur qui compter
des négros sûr pour te ligoter, t’enculer même si t’as [?]
même si je prend ils vont te remonter, appelle si tu passes à côté
je suis pas là je suis avec guy2 (guy2), balafres, cicatrices dans le dos (dans le dos)
ton frérot peut te la mettre dans le dos (il peut te la mettre)
[pré-refrain]
j’ai fait pleurer ma mère, fais pas comme moi, je regrette toute ma vie (wallah)
j’ai niqué beaucoup de mères, vu que dans la vie beaucoup qui t’envient (y’en a trop)
j’ai de moins en moins de potes, c’est mieux des frères je te jure sur ma vie (c’est mieux wallah)
et quand tu repenses, bien les plus grosses putes, bah c’est pas une fille (non)

[refrain]
la cité c’est réel, combien de fois pour moi c’était chaud
faut que tu saches, c’est pas tout le monde qui sera là demain si t’échoue
y’en a beaucoup qui font les chaud mais qui sont froid quand faut être chaud
y en a plein qui t’appellent : “mon frère”, mais qui sont pas là quand c’est chaud
la cité c’est réel, combien de fois pour moi c’était chaud
faut que tu saches, c’est pas tout le monde qui sera là demain si t’échoue
y’en a beaucoup qui font les chaud mais qui sont froid quand faut être chaud
y en a plein qui t’appellent : “mon frère”, mais qui sont pas là quand c’est chaud

[couplet 2]
j’ai tout mis dans les pochetons
j’ai fais les comptes que j’allais [khabat ?]
même les anciens de la ville me cherchaient juste pour m’acheter un bail
putes et les [clicos ?], loin de la dèche
j’vi-ser que les cli qu’ont la dalle
le commerce dans ma tête, j’envoyais que de la frappe comme nadal
c’est moi qui t’aidais, c’est moi qui donnais
je te faisais profiter mais t’en voulais encore
[chadon ?] m’a dit arrête les embrouilles
faut mettre bien la daronne, faut bien coffrer son cœur
que des billets, lui offrir un pavillon
le daron plus le faire bouger
faut que toi son fils tu sois sa fierté (sa fierté)
[pré-refrain]
j’ai fait pleurer ma mère, fais pas comme moi, je regrette toute ma vie (wallah)
j’ai niqué beaucoup de mères, vu que dans la vie beaucoup qui t’envient (y’en a trop)
j’ai de moins en moins de potes, c’est mieux des frères je te jure sur ma vie (c’est mieux wallah)
et quand tu repenses, bien les plus grosses putes, bah c’est pas une fille (non)

[refrain]
la cité c’est réel, combien de fois pour moi c’était chaud
faut que tu saches, c’est pas tout le monde qui sera là demain si t’échoue
y’en a beaucoup qui font les chaud mais qui sont froid quand faut être chaud
y en a plein qui t’appellent : “mon frère”, mais qui sont pas là quand c’est chaud
la cité c’est réel, combien de fois pour moi c’était chaud
faut que tu saches, c’est pas tout le monde qui sera là demain si t’échoue
y’en a beaucoup qui font les chaud mais qui sont froid quand faut être chaud
y en a plein qui t’appellent : “mon frère”, mais qui sont pas là quand c’est chaud

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