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letra de 3am - amar (fra)

[paroles de “3am”]

[couplet 1]
miserilla m’aura allaitée, j’n’ai plus la force de m’arrêter
des minutes passent chelave sous mes pieds, le goût du sang, tout est sous l’épée
j’fais le mort et je prends de l’âge, j’arrache le million et prend le large
s.a.a ché-ca sous l’évier, m’effacer sans aucun regret
j’ai mes raisons, j’ai mes vérité, oui leur vie est naze et c’est mérité
las veritas l’œil est irrité, j’ai ton a.d.n sur mon canon scié
je déambule dans ce paysage, j’suis qu'[?] de mon vrai visage
3am et je me refait

[refrain]
j’avance, je brille, j’apprends de mes erreurs, mon cœur ne ressent plus la douleur
j’essaie de retirer la tumeur, un litre de sang de la couleur
à vouloir effleurer le ciel, combien se sont brûler les ailes ?
je reste à l’écart de la scène, j’m’efface pour alléger ma peine
j’avance, je brille, j’apprends de mes erreurs, mon cœur ne ressent plus la douleur
j’essaie de retirer la tumeur, un litre de sang de la couleur
à vouloir effleurer le ciel, combien se sont brûler les ailes ?
je reste à l’écart de la scène, j’m’efface pour alléger ma peine

[couplet 2]
ma femme, mes potes, j’dois les souligner, répugnante est l’humanité
un 45 pour le vérifier, neurone en panne, vida momifiée
machine arrière, j’ai tourné la page, quelques bavures, deux-trois dérapages
un pas de plus, j’ai pris vingt degrés, une vue d’ensemble toujours en retrait
un cœur en pierre, le regard en biais, t’as foutue life, j’en ai rien à s’couer
je prends l’oseille, pense à la madre, petit fantôme finira entier
j’accélère dans ce long virage, 2.80, bédo sous l’orage
3am et je me refais
[refrain]
j’avance, je brille, j’apprends de mes erreurs, mon cœur ne ressent plus la douleur
j’essaie de retirée la tumeur, un litre de sang de la couleur
à vouloir effleurée le ciel, combien se sont brûler les ailes
je reste à l’écart de la scène, j’m’efface pour alléger ma peine
j’avance, je brille, j’apprends de mes erreurs, mon cœur ne ressent plus la douleur
j’essaie de retirée la tumeur, un litre de sang de la couleur
à vouloir effleurée le ciel, combien se sont brûler les ailes
je reste à l’écart de la scène, j’m’efface pour alléger ma peine

- amar fra

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