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letra de tout seul - zikxo

[parles de “tout seul”]

[intro]

ouais, ouais, ouais, ouais
nan, nan, j’m’entends bas un peu là
laisse, laisse, laisse, laisse

zikyenne
ouais, ouais
[couplet unique]
j’fume du sh-t grave, du sh-t gras
jeudi, c’est pénurie d’tout, crois pas qu’le biz’ est mé-cra
toujours bien peser les grammes et puis l’million dans les crânes
j’respecte les p’tits et les grands et j’aime quand ça monte dans les gammes
dans l’illégal sont mes gars, on aime niquer dеs mères, c’est mortel
riеn qu’ça cherche la maille, l’acab c’est l’bordel
mec d’herblay à corbeil, les guitares sont accordées
“brr”, c’est l’bruit d’la détonation
les bruits d’compét’, ils raisonnent moins parce qu’ils font que d’casser les tours
y a deux adresses dans l’dix-septième mais j’suis passé tcheker leto
faut m’offrir un six litres trois, moi, j’suis pas v’nu fleurir les tombes
j’suis moins d’repères mais j’me perds pas dans les comptes
tu veux la guerre ? [pas ni ?] problème, [?] des thunes
pour nous faire, faut des grosses couilles, cousin
pour s’barrer dans les îles, faut trois puces à trente boloss
des idées, des crocs d’molosses, bien lever ta garde (bien lever ta garde)
on veut traverser la carte mais pour l’instant, c’est la gare (c’est la gare)
tous les jours, la galère et vodka sur la table
dès l’matin, c’est kamas, personne prend ma place sur paname
dix dans un appart’ à [?], mec du 9.3 qu’en ont pas l’air (qu’en ont pas l’air)
j’veux des gros sous, j’aime les grosses putes
j’suis pas un saint, j’m’en bats les couilles, j’veux des grosses thunes
finir sa vie à miami ? (ouais, ouais)
fumer d’la frappe pour qu’j’tousse la dynamite
c’est dans les yeux, faut qu’tu serres la main
zikyenne dans l’essai, rarement, la frappe, crois pas qu’c’est la même
où l’temps nous mène ? on verra bien
j’étais absent, retiens bien ça si les keufs viennent pour faire un lien
tout a changé : y a des balances, des boloss armés
des files indiennes quand le gérant a été r-t-rdé
tout c’qu’on squatte, c’est [?] et bars d’immeubles
à vingt-sept piges, l’issue d’secours, elle pue l’glock
cinq prières, plus d’bénèf’, dieu m’regarde mais j’hésite
j’trimballe en ville [mais hésite ?]
à la recherche d’une bonne occas’, j’traite plus d’grand-mère, sa mère la pute
viens donc faire ta pub (viens)
c’est dans ma ville que sont les ‘loss et les grosses sommes
cousin, les grosses zones dangereuses
l’enjeu, c’est d’manger, le reste, c’est d’l’encre
un beat froissé parce que j’croise trop d’shmitts
j’prends le mic’ du cosmique
avant, on s’aimait bien, avant, on s’imitait
la rue m'[?], c’est connu, “zikyenne, c’est comment ?”
c’est c’que j’entends quand j’suis posté, ils veulent faire des collab’
pas l’temps, j’effile un collant, précis comme philanthrope
pour finir à philadelphie, on prend tout, on file en crabe
[outro]
y a d’la zeb fraîche et l’radar flashe sept plaques
j’suis dans un linceul, zen, tant qu’j’ai pas assez d’plâtre
nique ta mère, j’suis très bien tout seul (nique ta mère)
nique ta mère, j’suis très bien tout seul (ouais)
y a d’la zeb fraîche et l’radar flashe sept plaques
j’suis dans un linceul, zen, tant qu’j’ai pas assez d’plâtre
nique ta mère, j’suis très bien tout seul (nique ta mère)
nique ta mère, j’suis très bien tout seul
fils de pute, ouais, ouais
fils de pute

- zikxo

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