letra de la tige - said - zedxreal
stop
[couplet 1]
j’compte ma liasse de billets billets billets d’cent
j’rentre dans leur ghetto et ces mecs-là j’les réduis en cendres
hey ghetto ghetto boy, moi je f-ck tes boys
j’attends qu’il pleuve des loves mon avenir est en taule
j’élabore des sons traînés parler pas woaw
moi je t’assomme j’crois j’suis le mur du son
c’est pour moi la couronne j’crie mes punchs dans l’mégaphone
j’veux qu’tout le monde connaisse les paroles
pas de taff, pas d’école en un coup de doigt ton âme s’envole
je te tue, j’suis cruel mais c’est écrit depuis l’début
trop déçu par une pute qui m’a vendu
said ta mort, tu l’as obtenue
j’dis c’que j’fais, j’fais c’que j’dis
tu peux demander à l’og
said depuis l’départ je savais que t’étais qu’un iencli
[refrain]
le jour où j’ferai une vraie guerre c’est quand j’me tirerai dessus
tout le monde sait que dans cette ville c’est moi qu’y ai le dessus
jm’écarte de cercles vicieux et je les calcule plus
j’enchaîne les sons et j’alimente le flux
[couplet 2]
tu sais que je suis chaud et j’viens tous les qués-cho
m’appelle pas frérot tu me l’as mise pour une go
bang bang dans ta tête, j’ai rafalé les fenêtres et rafalé les traîtres
quartier grove street je claque le biff, je claque son cul
moi je la biffle en un sourire elle me kiff en un sourire elle le quitte
bang bang bang c’est la street ballas gang dans tes écouteurs
c’est la tige, c’est le tueur, j’veux l’gâteau, j’veux le beurre
et la caissière qui donne le biff, les rageux veulent mon malheur
j’leurs donne pas l’heure, j’ai pas l’temps
ratata j’suis sur un deux temps
pas d’parents, pas d’enfants sur un braco je met les gants
j’ai évolué, j’ai grandi maintenant appelle-moi le grand
[refrain]
le jour où j’ferai une vraie guerre c’est quand j’me tirerai dessus
tout le monde sait que dans cette ville c’est moi qu’y ai le dessus
jm’écarte de cercles vicieux et je les calcule plus
j’enchaîne les sons et j’alimente le flux
[pont]
« posé dans le tieks, j’regarde par la f’nêtre
j’fume des gros pets, j’repense à ces traîtres
posé dans le tieks, j’fume des gros pets
j’regarde par la f’nêtre et j’repense à ces traîtres »
[refrain]
le jour où j’ferai une vraie guerre c’est quand j’me tirerai dessus
tout le monde sait que dans cette ville c’est moi qu’y ai le dessus
jm’écarte de cercles vicieux et je les calcule plus
j’enchaîne les sons et j’alimente le flux
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