letra de la trilogique - youssef swatt's
[couplet 1 – p-pito]
au moment où j’vous parle, ma vie s’éteint
ma routine pue la merde et frère t’as du l’sentir
j’ai cru en la réussite et j’ai misé quelques centimes
t’as beau fuir la mort mais sache que personne s’en tire
j’dois affronter mes vices, la tête pleine de rêves
mais les poches sont vides, comme mes ‘teilles et mes packs sont vides
j’ai b’soin d’aide si j’fais face au combat, c’est pour rentrer dans l’arène
il faut qu’j’-ssume mes erreurs car l’erreur est humaine
ici c’est l’bordel, trop d’gens essaient d’t’la mettre, c’est d’la merde
tous les jours y faut qu’j’arrête
les embrouilles, le joint, la cigarette
évite, faut pas s’égarer à cause de ces cr-sses
fais toi pote du vice et tu s’ras bientôt son esclave
les défaites de la vie conduisent aux plus grandes victoires
trop d’gens en pleurs schouffe les fleuves de larmes
maintenant c’est l’heure, même si on sait qu’la vérité d’demain se nourrit dans l’erreur d’hier, ça m’fait pas rire
de voir que quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent, époque de flemmard où les vivants sont tous des morts
je suis cet homme à la mer, pour m’en sortir il faut que j’garde les pieds sur terre, ce sera dur si j’arrive au sommet
on réclamera ma chute pour le choc
mais ça ira avec d’l’alcool et du sh-t
on avance à grands pas sur le chemin d’notre échec
on meurt tôt ou tard comme tupac shakur
mais à part ça couz’, ma vie n’est pas un spectacle à r’garder mais bien un problème à résoudre
[couplet 2 : swatt’s]
s.w.a., beni luzio, p-pito
la trilogique, loin d’être illogique
oeil de bœuf, ciel neuf, écoute
j’sais pas trop par où commencer, moi je n’fais qu’trop penser
la haine mène le bal et j’sais pas sur quel pied danser
faudrait qu’les grands soient là quand les p’t-ts paniquent
moi j’serai là jusqu’à la fin comme les musiciens du t-tanic
et j’connais pas la suite ni la fin d’l’histoire
mais si ça fini mal, ça confirm’ra qu’l’espoir est provisoire
et j’continue d’y croire et ça m’rend insomniaque
la routine est brève, trois fois par semaine on s’lèche les pinces au snack
freestyle dans la rue, cont’nu et flow d’animal
déterminé comme la commande d’un grec sauce hannibal
et on s’donne pas d’image, non chez nous y’a pas qu’ça qui compte
c’qui m’appartient, t’appartient, frangin me parle pas d’bifton
malgré ça j’suis dans mon monde, faut qu’j’redescende
j’donne mon av’nir à tous ces jeunes que j’représente
et pour les miens ça n’m’apporte pas d’faire que des belles ziks
en fait moi c’est l’jeune tournaisiens qui représente toute la belgique
toute la belgique jusqu’au quai, salam
[couplet 3 – beni luzio]
ça fait, beni lu, 7500
la trilogique loin d’être illogique
et on dit tous qu’ça fait du bien de parler d’choses qui font du mal
mais quand les problèmes frappent sache que j’ai moins d’chance que neville londubat
ça m’a rendu barge de voir ma famille s’taper d’ssus
j’étais un gosse perdu, comme si j’me mettais tout seul en marge
tous les jours c’est le même train-train, le quotidien nous tue
l’ami ça commence par une tape le matin et puis le niaks pour s’endormir
et trop d’nuits blanches, à s’poser des questions sans réponse
j’ai du pain sur la planche, beaucoup d’problèmes, jamais les solutions
j’cherche la direction, le bon sens de ma destinée
nan, faut qu’tu l’saches, c’est qu’l’av’nir est dur à cerner
n’essaie pas d’berner, le jeune singe qui a fait les 400 coups
(qu’on a prié, qu’on a mis la misère avec ou sans l’mouv’ (???))
j’représente le 7.5., la jeunesse desespérée
tous ces mcs qui kick dans l’ombre, bien meilleurs que ceux d’la télé
oui je sais c’que l’rap va laisser comme héritage
ça fait un bout qu’j’me prends la tête afin d’noircir la paleur de mes pages. salope
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