letra de lundi soir - wood (fra)
[paroles de “lundi soir”]
[intro : tag]
blind
[couplet 1]
j’reprends dix kil’, j’vais les dégager, c’est mes gars qu’tu colles, t’es trop fatigué
la sacoche, j’la vide, adresse en adresse, j’pourrais pas t’dire combien d’fois j’ai vu condés
ça fait longtemps qu’ça tartine, j’te parle pas d’tranche, tout c’que j’ai lâché dans les loc’, j’rachète dix range
si demain, l’pe-ra, ça marche, c’est mes reufs qui mangent, va niquer ta mère, t’es pas content, à ta fête, on danse
j’suis en gucci, j’ai claqué maxi kichtas, en soucis, j’peux compter sur quels reufs ? ouais
en audi, elle chenef pas, elle donne son num’, j’me fie pas à c’que tu dis, tu vaux rien
[pré-refrain]
j’m’enfume dans mon balcon, y a la voisine qui serre, coup d’bigo, elle s’v’-esqui, elle ferme tous ses stores
la dix est mal lunée donc dimanche soir, fais d’la place dans ton lit, si ça pète, j’prolonge à mardi soir
j’m’enfume dans mon balcon, y a la voisine qui serre, coup d’bigo, elle s’v’-esqui, elle ferme tous ses stores
la dix est mal lunée donc dimanche soir, fais d’la place, cousine, dans ton lit, si ça pète, j’prolonge à mardi soir easy
[refrain]
dimanche soir, lundi soir, c’est pas chez moi que j’dors, j’finis pas au dépôt
eh, pas d’six heures, toujours dans mon sness-bi, j’déverse salaires aux dealers
de nos plans, on parle pas trop
dimanche soir, lundi soir, c’est pas chez moi que j’dors, j’finis pas au dépôt
eh, pas d’six heures, toujours dans mon sness-bi, j’déverse salaires aux dealers
de nos plans, on parle pas trop
[couplet 2]
y a mon baveux qui m’relance, qui m’dit qu’c’est une sale affaire
on s’fait tout seul, en freelance, j’ai pas d’patron
et toi, quand y avait rien, avoues qu’tu m’calcules pas trop
maintenant, j’peux m’barrer aux maldives, à bali ou à pa tong
et c’est pas l’pe-ra qui m’ramène mon fer
sauvé par les prières d’ma mère, les douaas d’mes frères
dans un maxi traquenard, ouais, j’peux m’sortir d’là tout seul
j’fais plus d’200k et j’les veux d’toutes les couleurs
[pré-refrain]
j’m’enfume dans mon balcon, y a la voisine qui serre, coup d’bigo, elle s’v’-esqui, elle ferme tous ses stores
la dix est mal lunée donc dimanche soir, fais d’la place dans ton lit, si ça pète, j’prolonge à mardi soir (ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah)
[refrain]
dimanche soir, lundi soir, c’est pas chez moi que j’dors, j’finis pas au dépôt
eh, pas d’six heures, toujours dans mon sness-bi, j’déverse salaires aux dealers
de nos plans, on parle pas trop
dimanche soir, lundi soir, c’est pas chez moi que j’dors, j’finis pas au dépôt
eh, pas d’six heures, toujours dans mon sness-bi, j’déverse salaires aux dealers
de nos plans, on parle pas trop
[outro]
on parle pas trop, on parle pas trop, nan, on parle pas trop, on parle pas trop
y a mon baveux qui m’relance, qui m’dit qu’c’est une sale affaire
j’ai pas d’patron, on parle pas trop, eh, on parle pas trop
y a mon baveux qui m’relance, qui m’dit qu’c’est une sale affaire
on parle pas trop, hein, ouais
y a mon baveux qui m’relance, qui m’dit qu’c’est une sale affaire
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