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letra de despair island - willy jhones

[intro : leonie]
j’suis plus là, désolé, j’ai beaucoup gé-chan
le besoin des autres et le regard des gens
j’ai l’instinct d’crusoé sur despair island
donc j’entends résonner la douleur des gens

[couplet 1 : lasmatik]
le poids des pêchés m’insupporte
des questions sans réponses, genre “as-tu raison ? as-tu tort ?”
j’ai chanté xxx, xxx et quand j’ai le mort
xxx contre l’appuis-tête, un jour j’vais gagner sans efforts
et je rêves d’autres vies, j’entreprends d’arrêter
mais putain j’aime tant ça, donc je fais comme si
sa m’arrive jamais de me prendre la tête comme ça
si j’étais comme cible, suffira pas de cacher ta tête dans le sac
je compte toutes les étoiles du ciel
faut pas l’cacher quand tu saigne (non, non)
j’y arriverais, sa c’est sûr, faut pas gâcher quand c’est dur
faut qu’je prennes du recul avec tout ça
le teh me ronge et m’fait tousser, doucement
j’arrêterais quand j’aurais tout fait
un doux vent m’empêche de mourir étouffer
j’entends encore les acouphènes (résonner dans ma tête… (x6))

[refrain : leonie]
regarde le ciel et regarde moi
tout mon univers fondée sur une étoile
regarde devant toi mais ne m’oublie pas
on a tout perdu dans une sale histoire

[couplet 2 : w-lly jhones]
c’est mon univers, il est dur à vivre
comme le monde en hiver, c’est plus simple quand t’es ivre
et l’effet de baliverne, te propose sans intérêts
tu m’as laisser porte ouverte, je l’ai vu dans un de mes rêves
j’peux pas atteindre les cieux, j’ai bloqué sur le sky
pas de redescente, déjà en bas de l’escalier
pas d’tranquillité, pas de c-cktails sous le palmier
gravir toutes les marches, et sa jusqu’au dernier palier

[pont : w-lly jhones] (x2)
encore sous lsd, sans le s
tout autour de moi que des mess-b-sses
tout vas un peu vite, sert les fesses
ils masquerons le bruit, quand les caisses p-sses

[couplet 3 : w-lly jhones]
prisonnier d’une galaxie, décoré de stalact-tes
coloré d’un vert nature, on en devient presque maladif
on est rentrée dans un vice, porte d’entrée à sens unique
tout les soirs les xxx, en présence de kryptonite
quelques façades délabrés sur les murs des hiéroglyphes
les vêtements tout délavées, ma vrai nature dévoilés
les grands esprits s’rencontres, les grands esprits dérailles
pèse le pour et puis le contre et vous n’prendrez plus de rails
les délires vont tellement loin qu’ils en sont stratosphériques
(même les malades le prenne comme médicament génériques)
bien heureux semble est ta vie, mais t’as plus rien à miser
(la méthamphétamine t’auras apporté que misère)
un peu d’adrénaline pour tout les “macronnisé”
poudre de perlimpinpin et puis vous agoniser
j’me trouve plutôt terre-à-terre, puis j’me tait car j’suis raté
tout les soirs on s’crève la tête, dans un squat comme r.a.t

[pont : w-lly jhones]
des réserves de thc danserons dans l’hémoglobine
comme ça même en hiver, ils resteront tous terr-sser
bavard dès plus pet-t, on a la barbe comme papa
depuis qu’j’fume cette résine, elle me rend barbapapa
je sais que c’est triste à dire, mais la weed j’suis presque à terre
bientôt j’peux plus me relever, retenez-moi j’suis presque à terre
mais même lors de l’automne, pendant que les feuilles tombes
ok xxx, j’écrirais sur nos tombes

[refrain : leonie]
regarde le ciel et regarde moi
tout mon univers fondée sur une étoile
regarde devant toi mais ne m’oublie pas
on a tout perdu dans une sale histoire

[couplet 4 : lasmatik]
et je fonce tout droit même si rien ne m’attend
ce paysage blanc a pour effet d’m’attendrir
tout ce vent, me fait refroidir, doucement
qui croire quand même entre tout ce monde
j’ai c-ssé la vitre dans le miroir tout est faussés
la seule chose vraie sont tes fossettes
faudrait sûrement que j’me calme, mais j’ai pas encore trouvé le temps pour

[outro : w-lly jhones]
je n’te déteste pas chérie
j’suis comme un vieux en xxx
eh oui je t’avais promis la belle vie
je crois bien que la belvé’
simple reflet dans son miroir
tu m’écoute raconter des excuses
xxx chapitres dans son histoire
comment je pourrais savoir si tu… (m’aimes encore ?)
je n’te déteste pas chérie
j’suis comme un vieux en xxx
eh oui je t’avais promis la belle vie
je crois bien que la belvé’
dis moi, donc dis moi, donc dis moi… pourquoi ?
dis moi pourquoi tu m’as laissé ?

[refrain : leonie]
regarde le ciel et regarde moi
tout mon univers fondée sur une étoile
regarde devant toi mais ne m’oublie pas
on a tout perdu dans une sale histoire

- willy jhones

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