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letra de magot - werenoi

[paroles de “magot” ft. sch]

[intro : werenoi]
2k on the track
oh-oh-oh-oh
gancho
oh-oh-oh-oh
ouh-ouh-ouh-ouh

[couplet 1 : werenoi]
j’ai un cœur introuvable comme un cyborg, glisse, tu vas chercher l’aiguille dans du ciment (du ciment)
tu veux faire la guerre avec dix balles ? c’est mort, comme la roulette russe avec six balles
j’te parle pas de coiffeur si j’te dis qu’t’as pas la bonne coupe
dieu sait qu’j’suis pas là pour être numéro un mais j’sais qu’c’est la bonne route
beret comme un peaky blinders (blinders), j’cal’ pas les équipes dе bandeurs
ils croient qu’je sais pas qu’c’еst des menteurs, j’parle avec le gérant, pas le vendeur
t’es gaillard mais t’auras rien sans l’neuf, t’es bouillant mais gros, t’as pas d’sang froid
elle a vu l’amour dans un soixante-neuf, j’ai vu la mort dans un .63

[pont : werenoi]
on est soixante-quatre quand y a soixante keufs, on est pas des anges, pas des enfants d’cœurs
on grimpe, on descend comme le 40 cac, tu t’fais lever pour moins d’60k
on veut la somme avec la décimale, la kala’ fait monter les décibels
ils reviennent à deux heures sur un t-max tout noir, quand la vie te quitte, elle est si belle (si belle, si belle)

[refrain : werenoi & sch]
trop de chevaux (‘vaux), plus qu’au tiercé (tiercé), j’suis dans l’vaisseau (vaisseau), j’ai pas d’sang à verser (verser)
c’est nous les rude boys (boys), quatre anneaux, rs6 (six), on prend l’magot (oui) sans dire : “merci” (merci)
sous le préau (oh), j’rêvais de percer (‘cer), tout pour le magot (oh) et les gyros m’ont bercé (‘cé)
trente et j’en attache deux (deux) pour la recharger (‘ger), j’attends pas qu’l’oseille tombe (tombe), gros, j’vais la chercher
[couplet 2 : sch & werenoi]
j’suis c’que l’amour doit à la haine, j’suis c’que le jour doit à la nuit (nuit)
j’vais faire un boucan terrible en sortant du fer, t’rappeler c’que le silence doit au bruit (bruit)
yeux noirs, élevés par des veuves, postiché dans un macan s (oui)
ma tête et mon cœur font la gueule, donc j’les regarde comme s’ils avaient ma pièce
un four noir tout au fond du ventre (oui), j’ai des amis morts plus que de saisons (oh)
quelques raisons d’prendre un peu d’ess’ et d’faire une guerre près d’la maison (maison)
les cicatrices causent autant que leur r’gard, phrasé létal, mathafack
j’sais conduire une tire, d’puis qu’j’suis assez grand pour toucher les pédales (c’est carré)
devant depuis tit-pe, plein d’sh-t depuis dix ou quinze piges (piges)
pleins phares, j’double par la droite, argent sale sens les mains moites
corneau d’pouces, j’ai trop compté d’espèce, j’sais le monter, le démonter (dee-s’, dee-s’)
le vent tourne, les derniers deviennent prem’s, j’écoute ni les : “on dit”, ni les : “wess wess”

[outro : werenoi]
oh-oh-oh-oh, oh-oh-oh-oh
ouh-ouh-ouh
oh-oh-oh-oh, oh-oh-oh-oh
ouh-ouh-ouh
ouh-ouh-ouh-ouh

- werenoi

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